Toutes les critiques de Le Sac de Farine

Les critiques de Première

  1. Première
    par Laura Meyer

    1975, en Belgique : Sarah est arrachée par son père à son pensionnat catholique, direction le Maroc. Neuf ans plus tard, en pleine révolte de la faim, la jeune femme tente de conquérir son indépendance. Un beau sujet et les meilleures intentions ne font pas toujours un bon film comme l’illustre ce Sac de farine où Kadija Leclere, animée par un engagement très personnel, veut tout aborder – déracinement, religion, place des femmes, amour – et finit par tout survoler.
    La réalisation sans relief et l’interprétation inégale ont raison de notre intérêt.

  2. Première
    par Laura Meyer

    1975, en Belgique : Sarah est arrachée par son père à son pensionnat catholique, direction le Maroc. Neuf ans plus tard, en pleine révolte de la faim, la jeune femme tente de conquérir son indépendance. Un beau sujet et les meilleures intentions ne font pas toujours un bon film comme l’illustre ce Sac de farine où Kadija Leclere, animée par un engagement très personnel, veut tout aborder – déracinement, religion, place des femmes, amour – et finit par tout survoler. La réalisation sans relief et l’interprétation inégale ont raison de notre intérêt.

Les critiques de la Presse

  1. Le Parisien
    par Hubert Lizé

    La réalisatrice Kadija Leclere s'est inspirée de sa propre histoire pour aborder les problèmes liés au choc des cultures occidentale et orientale, et à la place des femmes dans la société maghrébine. Son film traite ce sujet délicat avec intelligence.

  2. Le Canard Enchainé
    par David Fontaine

    Kadija Leclère s'inspire de sa propre vie, sans jamais dorer la pilule sur les réalités du Maroc. Son film ne manque ni d'à propos, ni de force, grâce à ses excellents interprètes.

  3. Le Monde
    par Sandrine Marques

    Kadija Leclere déroule un récit d'apprentissage classique et sincère, où le désir de liberté et l'amour s'opposent à la tradition.

  4. Nouvel Obs
    par Guillaume Loison

    De la féminité naissante des jeunes filles en fleurs à la solidarité de classe fendillée par un conflit larvé de générations, Kadija Leclere se révèle dans l’art de l’esquisse et de la rondeur, bien aidée par le magnétisme de ses actrices.