DR

Michel Polnareff n'a pas aimé notre chronique du jeudi et nous l'a fait savoir cette nuit via son Facebook et son Twitter. Un coup de gueule assorti de quelques éléments de réponse sur les questions que l'on posait dans notre article après l'annonce fracassante de sa non paternité sur les réseaux sociaux et dans le magazine Gala.Michel Polnareff s'est indigné hier soir à la suite de la lecture de notre chronique du jeudi. Il a ainsi posté ces quelques lignes suivies du lien vers notre article : "Je dois reconnaître que je suis atterré par certains écrits.Je sais que nous vivons dans un monde où seule la méchanceté est gratuite, mais comment peut on prendre un drame personnel pour une opération commerciale et/ou publicitaire. Il est dans mes habitudes de communiquer en premier lieu avec les " amis " de ce mur, et j'ai respecté cette tradition."Dans notre chronique nous nous interrogions sur le drame de la vie d'un homme (quoi de plus naturel en somme) et aussi sur la manière dont nous l'avions appris. Polnareff, artiste apprécié et énigmatique, a en effet souhaité lui-même parler publiquement de son drame personnel, l'annonçant à ses fans et annonçant par la même occasion la sortie de Gala ("les détails seront dans la presse à venir") dont il fait la Une avec cette terrible affaire du bébé qui n'est pas le sien. Cette hyper-médiatisation peut étonner, choquer... quoiqu'il en soit faire au moins réagir. Nous ne parlons pas "d'opération commerciale et/ou publicitaire". Pas plus qu'il n'est question de méchanceté. Nous parlons de médiatisation.Et sur ce point d'ailleurs, Michel Polnareff nous répond dans le commentaire de son post Facebook et nous donne les dernières nouvelles que l'on souhaitait également avoir. "C'est avec une grande fierté que j'avais montré mon bonheur sur la couverture de GALA. Il nous semblait logique de boucler la boucle en présentant " mon fils " sur la couverture de ce nouveau numéro de GALA, plus 10 pages à l'intérieur, mais les données ont changé entre temps et fait place à ce que vous savez. J'ai, depuis cette interview, réintégré ma maison et mon studio. Danyellah et le bébé ont disparu. J'ignore où ils sont. Mersea de respecter la peine qu'entraîne la fin de ce que je pensais être une union indestructible et le chagrin que j'éprouve pour celui qui, comme vous le dites si bien, n'a jamais demandé à être là."Alexandra Apikian