Toutes les critiques de Nos plus belles vacances

Les critiques de Première

  1. Première
    par Philippe Jambet

    Pendant la canicule de l’été 1976, une famille débarque au fin fond de la Bretagne passer des vacances sur les terres natales de la mère. Le père, juif d’Algérie, doit se faire accepter par les habitants du village. Frère de Gilles et comédien aux priorités théâtrales, Philippe Lellouche a voulu raconter une tranche de sa vie pour son premier passage derrière la caméra. Autobiographique jusqu’aux posters de Dominique Rocheteau sur les murs de la chambre, sa comédie ne manque pas de sincérité. Une qualité qui fait accepter quelques énormes maladresses et un fort sentiment de déjà-vu.

  2. Première
    par Pamela Pianezza

    En faisant de ses souvenirs de vacances la base de son premier long-métrage Philippe Lellouche échoue à dépasser le registre de l'anecdotique. Malgré l'entrain de son son casting, on rit peu... Trop peu.

Les critiques de la Presse

  1. A nous Paris
    par Fabien Menguy

    Au début en tout cas, les bons sentiments coulent vite à flots dans les veines de ce film nostalgique sur l'enfance de Philippe Lellouche, au final très caricatural, mais pas si désagréable.

  2. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    Ce choc des mondes, plein de tendresse et d'humour, servi par de solides numéros d'acteurs, emprunte à la fois l'univers de Marcel Pagnol et à celui de Jean Becker.

  3. Le JDD
    par Jean-Pierre Lacomme

    Pour son premier film, Philippe Lellouche revisite son enfance, les préoccupations des adultes, les premiers émois des plus jeunes. Des souvenirs aussi sincères qu’inaboutis à l’écran.

  4. Le Monde
    par Thomas Sotinel

    Philippe Lellouche retrouve ma veine comique de l'époque, du temps des Charlots, de Jean Lefebvre et Paul Préboist.

  5. Metro
    par Mehdi Omaïs

    Une tentative plombée par des personnages caricaturaux et des dialogues peu inspirés.

  6. Télérama
    par Frédéric Strauss

    L'ensemble donne un film maladroit, pas assez comique et trop convenu côté bons sentiments filiaux. La fibre autobiographique empêche pourtant l'indifférence : on sent que le comédien Philippe Lellouche ouvre son coeur et que les souvenirs qu'il donne à partager ici sont pour lui de vraies pépites d'or. Pas si facile que ça de les faire briller à l'écran.