Les bureaux de Dieu

Name: Les bureaux de Dieu
Director: Claire Simon
Released: 2015-09-20T20:55:23+0200
Duration: 122

Première

(1 critique)

Pressse

(3 critiques)

Date de sortie	5 novembre 2008
Durée	122 mn
Réalisé par	Claire Simon
Avec	Anne Alvaro , Nathalie Baye , Michel Boujenah
Scénariste(s)	Natalia Rodríguez, Claire Simon, Nadège Trébal
Distributeur	Shellac
Année de production	2008
Pays de production	France, Belgique
Genre	Comédie dramatique
Couleur	Couleur

Synopsis

Djamila aimerait prendre la pilule parce que maintenant avec son copain c’est devenusérieux, La mère de Zoé lui donne des préservatifs mais elle la traite de pute, Nedjma cache sespilules au dehors, car sa mère fouille dans son sac, Hélène se trouve trop féconde, Clémence a peur ,Adeline aurait aimé le garder, Margot aussi. Maria Angela aimerait savoir de qui elle est enceinte,Ana Maria a choisi l’amour et la liberté.Anne, Denise, Marta ,Yasmine, Milena sont les conseillères qui reçoivent, écoutent chacune sedemander comment la liberté sexuelle est possible.Dans les bureaux de Dieu on rit, on pleure, on est débordées. On y danse, on y fume sur le balcon, ony vient, incognito, dire son histoire ordinaire ou hallucinante.

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Critiques de Les bureaux de Dieu

Première

par Veronique Le Bris

Émanation toujours active du militantisme féministe des années 1970, les centres du planning familial en voient de toutes les couleurs (mariages forcés, IVG hors délais, demandes de contraception...), ne jugent jamais leurs visiteurs et croient en la parole ouverte envers celles et ceux qui passent le seuil de leur porte. Mais alors, pourquoi Claire Simon a-t-elle choisi de ne pas en faire un vrai documentaire ? Pourquoi « fictionner » la vie quand elle est aussi directe et naturelle ? Et, surtout, pourquoi confier les clés de ces Bureaux... à des stars (Nathalie Baye, Isabelle Carré, Nicole Garcia, Béatrice Dalle...) quand les visiteuses restent anonymes ? À cause de ces étranges partis pris, ce film, qui navigue ainsi entre vedettariat et cruelle réalité, perd autant de sa pertinence que de sa crédibilité et renseigne finalement bien peu sur l’évolution de la mission actuelle de ces centres, voire la difficulté à l’appliquer.