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La superbe restauration de "Jour de fête" offre la possibilité de revoir en salles le premier long métrage de Jacques Tati dans toute la splendeur d’un noir et blanc qui fait oublier que le film avait été initialement pensé et tourné en couleurs (...).
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Pourquoi restaurer cette doublure (pour provoquer un peu) en noir et blanc, que Tati, de son vivant, avait sporadiquement colorisée ? Il s’avère à la (re)vision du film qu’elle est intéressante : le regard n’est pas distrait (par les couleurs), l’écoute se tend.
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Aujourd’hui, c’est la version originale en noir et blanc qui ressort sur nos écrans grâce à la restauration initiée par Les Films de Mon Oncle. Où l’on (re)découvre que les éclats comme la patine nostalgique sont d’abord l’œuvre du rythme aussi tendre que vivace de ce poème visuel.