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Fede Alvarez, remarqué par la production grâce à son court métrage Panic Attack! y va franchement dans le côté sanglant sans pour autant tomber dans une surenchère complaisante à la manière de la saga Saw. 25.000 litres d’hémoglobine auraient pourtant été utilisés. Evil Dead nouveau millénaire surprend par son énergie constante (...) dont les personnages se fendent la gueule au sens propre du terme.
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Ce film s’impose comme un très bon remake, très satisfaisant.
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Le gore abonde, cette adaptation ravira les fans de la première heure.
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Ce remake d'un grand classique est mené par un jeune réalisateur uruguayen proche de ses personnages, des post-ados crédibles. Le jeu avec la peur pourrait être plus élaboré. Mais question horreur, on est servi.
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Un des très rares remakes qui plaira aux fans des versions précédentes.
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Evil Dead 2013 se veut être le train fantôme de la génération 2.0 : il y parvient avec la puissance d’une déflagration qui saura embraser tous les esprits. Et pour toutes ces raisons on réclame vite la suite… Cela tombe bien, elle nous a déjà été promise…
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Evil Dead s’offre un petit lifting. Entendez par-là : un remake ! Or, si le prétexte pour isoler une bande de jeunes au fond des bois est nouveau (sevrer leur amie cocaïnomane), ils ont toujours la mauvaise idée d’appeler un démon avec un livre de sorcellerie. Ce qui donne lieu à un jeu de massacre en bonne et due forme. Une plongée hystérique et jubilatoire dans ce qu’Hollywood a produit de plus gore jusqu’ici.
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Même si il est impossible de surpasser l’original, la version d’Alvarez est à la hauteur de son prédécesseur.
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C’est sanguinolant, effrayant, bourré de références cinématographiques (à Tarantino notamment) et somptueusement réalisé par un génie uruguayen des effets spéciaux.
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Evil Dead est une grosse bouffée d'air frais et une véritable déclaration d'amour pour le genre et ses spectateurs. Libertaire, gore, « groovy », cette nouvelle version est la digne héritière de l'énergie des Raimi, Campbell et Tapert des origines. Une très bonne surprise!
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Un bel hommage, un film assez créatif, qui ne se prend pas au sérieux, très approprié au format de 91 minutes : impitoyable si il avait été plus long, pas assez généreux si il avait été plus court.
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Un carnage efficace et implacable.
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Tant que vous serrez les dents et que vous restez scotché à l’écran, c’est que le pari est réussi, c’est un exercice presque académique dans le registre du mauvais goût.
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Une dose considérable d’ultra violence.
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Raimi avait mis la barre haute et comme Alvarez n’atteint pas ce niveau, il compense par un excès de gore, c’est beaucoup trop mais, ici, ça fonctionne bien.
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Ce que « Evil Dead » a de plus juste c’est le ton, il forme son propre territoire, il est terrifiant sans être pessimiste, drôle sans être ridicule.
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En 1981, Evil Dead, classique du cinéma d’horreur, révélait le débutant Sam Raimi. Le réalisateur produit aujourd’hui un remake respectueux de l’original, dont il partage l’audace et la violence extrême. Aux trucages artisanaux de l’époque succèdent des effets spéciaux sophistiqués mais discrets et des litres d’hémoglobine. Plus démonstratif, mais très efficace.
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Le nouveau « Evil Dead » n’a absolument pas le charme et l’hilarité du premier, intentionnellement ou pas.
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Toujours effrayant, nettement moins délirant.
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Ce remake d'un grand classique est mené par un jeune réalisateur uruguayen proche de ses personnages, des post-ados crédibles. Le jeu avec la peur pourrait être plus élaboré. Mais question horreur, on est servi.
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« Evil Dead » est assez efficace pour stimuler l’appétit des fans d’hémoglobine mais il coupera avec certitude l’appétit des autres. Washington Post,
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Cette fois ci, il y a, objectivement, beaucoup plus de budget, mais un remake ne devrait pas décupler la violence ainsi, même si les effets sont incommensurablement plus impressionnants qu’il y a 30 ans.
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Ni terrifiant, ni perturbant, il retourne juste les entrailles.
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Là où le bât blesse, c'est que cette variation 2013, pourtant soutenue par l'équipe originelle, n'offre rien de plus et surtout n'apporte rien au classique indémodable de Sam Raimi réalisé en 1981 qui avec beaucoup moins de moyens filait quand même beaucoup plus les jetons.