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Invité ce matin sur RTL, le ministre de la Culture et de la Communication a confirmé que l'arrêt complet de la publicité sur France Télévisions ne se ferait pas avant janvier 2014. Il s'est voulu aussi rassurant sur le cas Delarue, précisant que son talent n'était "pas en cause".

Invité ce matin sur RTL, le ministre de la Culture et de la Communication a confirmé que l'arrêt complet de la publicité sur France Télévisions ne se ferait pas avant janvier 2014. Il s'est voulu aussi rassurant sur le cas Delarue, précisant que son talent n'était "pas en cause".Frédéric Mitterrand était invité ce matin sur RTL. Il a confirmé les propos du député UMP Jean-François Copé, qui annonçait cette semaine qu'un "moratoire" de deux ans était nécessaire "pour des raisons budgétaires" avant la suppression totale de la publicité sur France Télévisions, initialement prévue pour novembre 2011.La publicité ne disparaitra pas des écrans entre 6h et 20h avant janvier 2014, donc, et "après on verra", a annoncé le ministre de la Culture et de la Communication.Il s'est ensuite exprimé à propos de l'affaire Jean-Luc Delarue : "C'est une histoire triste. Il y a une sorte d'enchaînement fou des années de travail, d'une générosité très forte dans ses émissions, de la notoriété qui est un fardeau qu'on a peur de perdre. Et puis un moment, ça déraille."Selon lui, "le talent de Delarue n'est pas en cause", mais "il faut qu'il se reprenne". Il a précisé, suite au communiqué de France 2 annonçant l'arrêt des tournages de Toute une histoire après que son producteur et animateur ait passé 10 heures en garde à vue suite à une affaire de stupéfiants, que "quand il se sera repris et qu'il se sera désintoxiqué, il n'y a pas de raison de ne pas lui donner de deuxième chance."