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Ariel Rotter filme en noir et blanc cette Argentine des années 1960 que l'épure de sa mise en scène rend intemporelle.
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Concis, retenu,Un homme charmant est pourtant un film cruel, la trace incurable d’un malheur ordinaire.
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Sujet intéressant, ou du moins sensible, mais cette histoire de femme que son deuil a plongée dans un spleen permanent eût nécessité une mise en scène un peu plus déliée et ferme pour être poignante.
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C'est un sujet qui appelle d'ordinaire le lyrisme et le manichéisme, mais que le cinéaste argentin Ariel Rotter ("Solo por hoy", 2001) traite avec une délicatesse de harpiste. Jusqu'à la séance finale de photo de famille, qui résume magistralement ce film où le passé demande seulement un peu de patience à l'avenir.
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Le beau noir et blanc ne comble pas, hélàs, un scénario trop plat.