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Jaume Balagueró marie – avec succès – l'horreur viscérale, le huis-clos sauvage avec un humour assez féroce. (...) Dès les premières images, son talent fait la différence (imperfections comprises), une impression qui perdure pendant quasi tout le long-métrage.
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Jaume Balaguero semble se désintéresser totalement de son sujet et nous offrir une énième introduction, terriblement poussive. "[REC 4]" n'est pas tant un spectaculaire ratage qu'un renoncement total à l'exigence et à la créativité qui présidèrent jusqu'à présent à la saga.
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Jaume Balaguero recycle une fois encore les ficelles épuisantes du genre et bâcle cette tétralogie qui aurait dû s'en tenir au premier volet. Beaucoup de gâchis et de temps perdu.
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Un dernier round prétentieux. Angela Vidal s’y débat avec des singes, des militaires et des caméras dans une ambiance de solde où "tout doit disparaître" : l’originalité, la terreur, l’humour…