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Mêlant l’intime au politique de façon parfois poignante, cette méditation documentaire en Sicile sur la nécessité de résister malgré la crise sociétale est plombée par ses répétitives séquences de théâtre de marionnettes.
Toutes les critiques de Orlando Ferito - Roland Blessé (Documentaire)
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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(...) en dressant un tableau sans illusions mais presque apaisé d’un monde qui a déjà surmonté le stade du désespoir et où une marionnette obstinée, Luciolino, fait entrevoir les petites lueurs, les micro-foyers de résistance annonciateurs d’une autre manière d’habiter le monde, d’une renaissance possible.
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L’auteur reste fidèle à sa poétique de la subjectivation de l’espace urbain, des lieux et non-lieux de la ville et de la vie, et signe avec Orlando Ferito l’un de ses films les plus beaux.
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(...) tout en continuant à cultiver son sens de la contemplation esthétique et son hédonisme alerte, le cinéaste rappelle avec grâce que partout persistent, avec ténacité et discrétion, des lucioles humanistes et solidaires.
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(...) Dieutre s’épanche moins qu’à son habitude. Tout en conservant son sens de la contemplation, il scrute le monde actuel et son devenir incertain avec sagacité.
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C'est beau, égotiste, comme toujours, mais optimiste comme rarement.
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Comment cette folle entreprise s’est transformée en journal narcissique des vacances d’un quinquagénaire, par ailleurs réalisateur souvent passionnant, restera comme un petit mystère du cinéma.