Obvious Child-
Un petit film modeste qui ne prétend pas être révolutionnaire, et pourtant il l’est.
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Cette comédie romantique à cheval entre Woody Allen et Lenny Bruce joue les bad girls. Plus crus qu’un steak tartare, les dialogues versent une salvatrice rasade de vodka frelatée dans l’eau de rose d’un cocktail rendu détonant par Jenny Slate. Une nature qui, il faut l’espérer, reviendra au galop sur les écrans.
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Un film entre une farce de Woody Allen et un one woman show de Sarah Silverman.
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Robespierre et son équipe méritent de belles louanges de se confronter à un sujet si difficile avec autant de grâce, d’humour et de courage.
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Un fil risqué et indulgent, extrêmement rafraichissant.
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Il n’y a rien d’évident, c’est ce qui fait la beauté et l’intérêt d’ « Obvious child ».
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« Obvious Child » : Gillian Robespierre révolutionne la comédie romantique américaine. Porté par la pétulante Jenny Slate, "Obvious Child" détourne tous les clichés de la "rom-com".
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Très bonne surprise que ce petit premier film américain. On s'attend à une comédie sentimentale traditionnelle, et c'est le contraire qu'on découvre avec l'histoire de la jeune Donna Stern. (...) Des dialogues tranchants, cruels, des situations cocasses pour cette comédie romantique ô combien rafraîchissante.
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Sérieux et drôle à la fois, un film qui dédramatise un thème difficile et qui sait avant tout être honnête.
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Gillian Robespierre décrit les épreuves auxquelles doit faire face une jeune femme qui ne souhaite pas encore être mère. Un film surprenant, drôle, malgré des passages un peu lourds sur les petits secrets féminins.
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Une comédie romantique sombre qui n’a rien d’une comédie.
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La banale histoire d'une jeune femme fraîchement larguée par son mec et qui se retrouve enceinte d'un inconnu à la suite d'une nuit trop arrosée, gagne en profondeur à force de dialogues extrêmement bien écrits, grinçants, mordants et pertinents à souhait. Les amoureux du verbe et de la repartie cinglante apprécieront.
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Une romance inattendue racontée avec une grande liberté de ton.
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"Obvious Child" est une comédie romantique et n’a pas honte de l’être. (...) "Obvious Child" est vif, revendicatif mais nuancé. Et rappelle que l’humour est encore la meilleure défense face à un monde hostile.
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Typique d’un certain cinéma indépendant américain – fauché, dialogues politiquement incorrects, vaguement branché –, le film ne brille pas par l’originalité de son propos mais attire la sympathie grâce à l’abattage des comédiens.
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Une comédie grossière, une comédienne immature qui sait traiter un sujet épineux avec une candeur remarquable.
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par Frédéric Foubert
Toutes les critiques de Obvious Child
Les critiques de la Presse
L’une des conséquences les plus néfastes du carton de la série Girls aura été l’inflation de chroniques new-yorkaises sur de jeunes hipsters indécises, bien dans leur époque, mal dans leurs baskets. Racontant les galères d’une comédienne de stand-up se découvrant enceinte, "Obvious Child", dernier spécimen du genre, ne trouve jamais le bon dosage entre férocité et tendresse, vannes scato et rom-com chamallow. C’est dommage, parce que l’épatante Jenny Slate, étoile montante de la comédie US, mérite un autre firmament.
Sexe, déprime, avortement, tout y passe, avec un humour très noir et très cru.
Un film sur le thème de l’avortement qui se veut révolutionnaire, ce n’est pas tout à fait le cas.
Un film qui manque de punch, l’aspect dramatique n’apparaît absolument pas.
