Toutes les critiques de Marguerite

Les critiques de Première

  1. Première
    par Damien Leblanc

    La filmographie de Xavier Giannoli serait-elle l’une des plus obsessionnelles du cinéma français ? Les aventures de Marguerite, riche passionnée d’opéra chantant terriblement faux sans le savoir, condensent en effet les thématiques de "Quand j’étais chanteur" et d’"À l’origine", autre récit d’une manipulation qui révélait l’hypocrisie aveugle de toute une société. Mais la reconstitution du Paris des années 20, la sensibilité comique qu’apporte Catherine Frot et l’apparente admiration du cinéaste pour le fiévreux destin de son héroïne font naître un curieux apaisement qui donne envie d’aimer cette grande romantique, victime d’une époque en pleine mutation, croyant dur comme fer aux vertus de l’art.

Les critiques de la Presse

  1. TLC - Toute la Culture
    par La redaction de TLC

    A part un léger point politique, le film est original, touchant, magnifiquement porté par des plans presque théâtraux et l’on serait bien bête de bouder son plaisir….

  2. Le Figaro
    par Eric Neuhoff

    Xavier Giannoli dépeint avec finesse une Castafiore qui chante comme une casserole et refuse de le savoir. Un futur classique.

  3. Les Inrocks
    par Serge Kaganski

    Drôle et bouleversante, cruelle et empathique, féministe et picturale : cette "Marguerite", je l’aime un peu, beaucoup, passionnément.

  4. Le Monde
    par Jacques Mandelbaum

    Xavier Giannoli s’est inspiré de la vie de la pseudo-soprano américaine Florence Foster Jenkins (1868-1944) pour son portrait d’une hurluberlue cacophonique, magistralement interprétée par Catherine Frot.

     

  5. Les Inrocks
    par Serge Kaganski

    Drôle et bouleversante, cruelle et empathique, féministe et picturale : cette Marguerite, je l’aime un peu, beaucoup, passionnément.

  6. L'Express
    par Christophe Carrière

    Face à une Catherine Frot qui trouve ici le plus beau rôle qu'on lui ait jamais offert, et à travers un mari torturé (formidable André Marcon), une star déchue (subjuguant Michel Fau) ou un étrange gardien du temple (Denis Mpunga, une révélation), "Marguerite" raconte également l'aveuglement, l'ambivalence, le dilemme avec autant de brio que de finesse.

  7. Le Monde
    par Jacques Mandelbaum

    Xavier Giannoli s’est inspiré de la vie de la pseudo-soprano américaine Florence Foster Jenkins (1868-1944) pour son portrait d’une hurluberlue cacophonique, magistralement interprétée par Catherine Frot.

  8. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    Ce qui rend "Marguerite" bouleversante, c’est sa sincérité absolue face à un ridicule qu’elle ne perçoit pas. Le réalisateur d’"A l’origine" (2009) et Catherine Frot ont trouvé l’alchimie parfaite entre sourire et serrement de gorge.

  9. Le Point
    par François-Guillaume Lorrain

    (...) un des plus beaux films français de l'année, drôle et émouvant à la fois, baroque et délirant, une splendeur de cinéma qui transcende un merveilleux personnage.

  10. Le Point
    par François-Guillaume Lorrain

    (...) un des plus beaux films français de l'année, drôle et émouvant à la fois, baroque et délirant, une splendeur de cinéma qui transcende un merveilleux personnage.

  11. L'Express
    par Christophe Carrière

    Face à une Catherine Frot qui trouve ici le plus beau rôle qu'on lui ait jamais offert, et à travers un mari torturé (formidable André Marcon), une star déchue (subjuguant Michel Fau) ou un étrange gardien du temple (Denis Mpunga, une révélation), Marguerite raconte également l'aveuglement, l'ambivalence, le dilemme avec autant de brio que de finesse. 

  12. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    Ce qui rend "Marguerite" bouleversante, c’est sa sincérité absolue face à un ridicule qu’elle ne perçoit pas. Le réalisateur d’"A l’origine" (2009) et Catherine Frot ont trouvé l’alchimie parfaite entre sourire et serrement de gorge.

  13. Nouvel Obs
    par Pascal Mérigeau

    La reconstitution d'époque est parfaite, les acteurs sont grands, c'est comique et touchant d'un même élan, manière de dire qu'à "Marguerite" il ne manque rien.

  14. Direct Matin
    par La rédaction de Direct Matin

    Lumières, costumes, décors et personnages secondaires calibrés embellissent un récit émouvant et souvent drôle.

  15. La Croix
    par Jean-Claude Raspiengeas

    Le réalisateur français qui entend autre chose, un chant de détresse, signe une œuvre splendide et complexe, émouvante et drôle, sur fond d’histoire d’amour, loin de l’ironie que l’on attendait.

  16. Télérama
    par Pierre Murat

    (...) c'est à l'univers esthétique et moral d'un autre grand cinéaste que renvoie le film : Max Ophuls, chez qui la somptuosité formelle épousait, par une sorte de grâce mystérieuse, la ri­gueur du propos.

  17. Le Figaro
    par Eric Neuhoff

    Xavier Giannoli dépeint avec finesse une Castafiore qui chante comme une casserole et refuse de le savoir. Un futur classique.

  18. Metro
    par Mehdi Omaïs

    Xavier Giannoli signe là une comédie tragique dans laquelle Catherine Frot trouve son plus beau rôle. La comédienne, émouvante et hilarante, brille de mille feux. Tout comme l’ensemble du film.

  19. Nouvel Obs
    par Pascal Mérigeau

    La reconstitution d'époque est parfaite, les acteurs sont grands, c'est comique et touchant d'un même élan, manière de dire qu'à Marguerite il ne manque rien.

  20. La Croix
    par Jean-Claude Raspiengeas

    Le réalisateur français qui entend autre chose, un chant de détresse, signe une œuvre splendide et complexe, émouvante et drôle, sur fond d’histoire d’amour, loin de l’ironie que l’on attendait.

  21. Direct Matin
    par La rédaction de Direct Matin

    Lumières, costumes, décors et personnages secondaires calibrés embellissent un récit émouvant et souvent drôle.

  22. Metro
    par Mehdi Omaïs

    Xavier Giannoli signe là une comédie tragique dans laquelle Catherine Frot trouve son plus beau rôle. La comédienne, émouvante et hilarante, brille de mille feux. Tout comme l’ensemble du film.

  23. Direct Matin
    par La rédaction de Direct Matin

    Cette comédie dramatique ne réussit cependant pas à prendre un parti. Il semblerait qu'il souhaite soutenir la cantatrice dans son aveuglement et sa folle entreprise à l'image de ce qu'a fait le réalisateur dans "A l'origine" avec François Cluzet.

  24. Libération
    par Clément Ghys

    Et au vu de sa manière, caricaturale et franchement embarrassante, de traiter la question de l'avant-garde, on peut se dire que cela ne lui ferait pourtant pas trop de mal d'aller voir dans ces zones-là.

  25. Libération
    par Clément Ghys

    Marguerite ne trouve jamais le bon ton, le film non plus. (...) Au vu de sa manière, caricaturale et embarrassante, de traiter la question de l’avant-garde, on se dit qu’il ne lui ferait pas trop mal de s’inspirer un peu de cette insolence-là.

  26. Critikat.com
    par Clément Graminiès

    (...)  un ratage dans les grandes largeurs. (...) la mise en scène se contente de rendre compte de l’application avec laquelle les décorateurs et costumiers ont justifié le budget qui leur était alloué. 

  27. Télérama
    par Pierre Murat

    (...) c'est à l'univers esthétique et moral d'un autre grand cinéaste que renvoie le film : Max Ophuls, chez qui la somptuosité formelle épousait, par une sorte de grâce mystérieuse, la ri­gueur du propos. 

  28. Critikat.com
    par Clément Graminiès

    (...) un ratage dans les grandes largeurs. (...) la mise en scène se contente de rendre compte de l’application avec laquelle les décorateurs et costumiers ont justifié le budget qui leur était alloué.