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Adaptée d’un best-seller vendu dans trente-cinq pays, cette comédie picaresque retrace le parcours d’un personnage condamné à la solitude par un handicap qui, en contrepartie, révèle chez lui des pouvoirs inattendus et le voue à un destin extraordinaire émaillé d’étonnantes rencontres... S’il ressemble à une version suédoise de Forrest Gump, ce vieux (joué par le même acteur à différents âges de la vie) s’en distingue par son absence totale de prétention philosophique ou morale. Les situations qu’il provoque (souvent explosives, car c’est un spécialiste de la dynamite) sont au détriment de méchants caricaturaux, gangsters, motards, trafiquants de drogues ou dictateurs. Le procédé narratif qui repose sur la répétition peut lasser, mais il est heureusement compensé par une profusion de gags parfois inspirés. Au total, il y a assez de potentiel pour donner des idées de remake à Hollywood.
Toutes les critiques de Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Il fallait un sacré toupet, sinon une bonne dose d'inconscience, pour porter à l'écran ce livre tourbillonnesque qui égrène en rafale son chapelet de situations et de personnages, avec éléphant en prime. Ce dernier saura d'ailleurs peser de tout son poids dans l'intrigue. Doublé par la voix de Pierre Arditi, l'acteur Robert Gustafsson promène, comme une danseuse ferait des pointes, son air de génie délicieusement dépassé par les événements. Bref, on voulait un film détonant ? Le voilà.
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Comment ne pas tomber sous le charme de ce Forrest Gump à la mode suédoise qui, avec la plus grande naïveté, a sauvé la vie de Franco, dansé la polka avec Staline, aidé à l'invention de la bombe atomique, et copiné avec des présidents américains et des espions russes ? Génial !
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une cavale loufoque ponctuée de rencontres insolites et du récit de la vie de cet homme qui a traversé le XXe siècle, rencontré les personnages les plus célèbres, de Staline à Franco, et influencé l’Histoire tout en restant candide.
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Des moments drôles, d'autres touchants, sur fond de course-poursuite totalement loufoque...
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Si il est rare de recommander de voir les films en version française, ce Vieux pourrait être l’exception qui confirme la règle.
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Le scénario du film n'édulcore pas les trouvailles du roman. Les explosions fusent comme les plaisanteries dans une Suède délicieusement exotique. La réussite du film tient bien à son personnage principal, sorte de Candide hors d'âge mâtiné de Forrest Gump qui refuse de laisser le temps et les événements entraver sa route. Bref, l'on marche avec Allan.
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Une des comédies de l’année assurément. Malgré une durée excessive et une mise en images parfois trop sage, ce récit totalement loufoque, proche d’un Forrest Gump dans la manière dont notre héros traverse et surtout modifie l’Histoire, est un vrai régal au niveau de ses hilarantes péripéties.
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Un scénario original drôle et touchant à la fois, qui peut en attirer plus d’un. C’est une belle métaphore de la vie, la vieillesse n’étant pas synonyme de handicap. On peut encore faire des choses, différentes même. Une belle découverte.
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Laissez-vous entraîner dans les folles aventures de ce Forest Gump suédois, vous passerez un bon moment.
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Imprégnée d’un humour acide et dotée d’une épatante performance de Robert Gustafsson, cette virée picaresque sort des sentiers battus des comédies formatées.
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Sans être une totale réussite, Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire démontre qu’on peut s’amuser de l’histoire récente et de ses figures marquantes sans verser dans le sentimentalisme et la niaiserie.
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Le film colle au plus près du best-seller de Jonas Jonasson. Résultat : une illustration plate, menée au pas de charge. A voir à la rigueur pour Robert Gustafsson, amusant en Forrest Gump suédois.
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Le souffle romanesque qui caractérise généralement ce genre de récit, et qui faisait du livre un divertissement plus qu’agréable, fait donc ici cruellement défaut.
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Scénario cintré, personnages foldingues, dont le réalisateur s'esquinte à flinguer l'originalité dans un collage de saynètes laborieuses. Seules quelques séquences foutraques en réchappent. C'est ce qu'on appelle un joli gâchis.
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Adaptée du best-seller de Jonas Jonasson, (...) cette comédie paresseuse et grotesque peine à affirmer sur la durée, sa capacité à divertir.