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L’archaïsme formel de cette œuvre à la fois sèche et candide, les chansons dingos de Daniel Laloux, et le formidable et brumeux free jazz de Bernard Vitet, caractérisent sa saveur inimitable.
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Au delà d’aspects un peu datés et d’intentions parfois trop visibles, ce film, avec sa caméra plutôt dirigée vers les coulisses du monde, dans les caves et les greniers, dans l’inconscient, a gardé une force poétique et transgressive qui doit beaucoup à la manière dont il utilise le décors parisien.