Toutes les critiques de La Chambre d'en face

Les critiques de Première

  1. Première
    par Hendy Bicaise

    Après ses thrillers musclés R et Northwest, Michael Noer opère un virage inattendu avec cette romance dans une maison de retraite qui voit Lily, dont le mari est victime d’un AVC, s’éprendre d’un autre homme. Entre l’univers codifié, le découpage énergique et les dangers latents, pénétrer dans cette Chambre d’en face n’est finalement pas de tout repos.

Les critiques de la Presse

  1. StudioCiné Live
    par Laurent Djian

    Un film superbe, à la fois cruel et tendre, su les ravages de la vieillesse. 

  2. Le Monde
    par Noémie Luciani

    Le résultat est aussi émouvant que pertinent et troublant dans le questionnement de société qu’il soulève.
     

  3. Nouvel Obs
    par La rédaction du Nouvel Obs

    Le film rigoureux, ultrasensible, tendre et cruel de Michael Noer vaut pour ce couple bergmanien : la Danoise Ghita Nørby et le Suédois Sven Wollter, qui jouent comme on se consume et réussissent à nous faire croire que, à leur âge, l’amour est plus fort que la mort.

  4. Les Inrocks
    par Vincent Ostria

     (...) programme étriqué, filmé à la danoise (post-Dogme), qui ne déborde jamais le cadre de son sujet (personnages secondaires inexistants). Il se contente d’entériner les idées reçues sur les maisons de retraite.

  5. L'Humanité
    par Vincent Ostria

     Rien de spécial à signaler dans ce mélo mitigé qui plaide pour le droit à l’amour à tout âge. Cela dit, il ne va pas au bout de la liberté qu’il réclame.

  6. Télérama
    par Mathilde Blottière

     Que les courageux qui iront voir le film sachent que le volontarisme de l'héroïne fait (parfois) plaisir à voir. 

  7. Libération
    par Julien Gester

    Des scènes frappent par la cruauté mate de leur dramaturgie (l’anniversaire du vieil homme orchestré comme s’il était pleinement présent aux autres, la prise de conscience par Lily qu’elle aussi est malade), mais l’essentiel du film n’en barbote pas moins dans un académisme embué d’émois tièdes.