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(...) Bornedal tient fermement la barre du polar pur et dur (très dur) en ne relâchant jamais la tension et en ménageant des surprises percutantes. De plus, il s’appuie sur une interprétation excellente et une photo idéalement adaptée à la tonalité d’un film
qui a le tranchant, la température et l’éclat de l’acier. La richesse de l’histoire est telle qu’il ne serait pas étonnant de voir le film faire l’objet d’un remake hollywoodien.
Toutes les critiques de Just Another Love Story
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Nous déambulons ainsi de scènes qui auraient pu être mémorables ou qui le sont à d'autres qui handicapent durablement le film. De telles erreurs sont incompréhensibles de la part d'un réalisateur aussi expérimenté qu'Ole Bornedal. Certaines émotions l'ont-elles mis trop mal à l'aise ?
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Il faut bien reconnaître que le scénario de ce film est tiré par les cheveux ; les coïncidences étant bien trop nombreuses pour être crédibles. Mais le travail photographique et l’intérêt porté au personnage principal, allié à l’interprétation d’Anders W. Berthelson font de ce long métrage une œuvre tout à fait fascinante.
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Pour dénouer son récit, Ole Bornedal opérera un virage vers le thriller, avec l'histoire abracadabrante du vrai petit ami, psychopathe furieux. Dommage. Car de belles scènes unissent les deux protagonistes dans la chambre d'hôpital - une toilette, des souvenirs inventés et murmurés comme une thérapie, une étreinte fragile et passionnée. Peu importe qui est qui : un sentiment est là et chacun de ces naufragés tient l'autre hors de l'eau.
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Cette banale histoire d'adultère boursouflée de détails sordides se distingue par un penchant très net pour la laideur.