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Cette farce foutraque sur des aspirants rockers en quête de gloire ressemble plus à un reportage de Groland qu’à un véritable film de cinéma.
Toutes les critiques de Bob et les Sexpistaches
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Cette comédie musicale, qui évoque les désillusions et la corruption dans le milieu du disque, vaut surtout pour les scènes de concert, où le punk se mue, peu à peu, en pop pour l'Eurovision.
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Un rien bricolé mais bourré de sève, ce film a su capter la fraîcheur et la sensualité de la rock attitude adolescente.
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Pas sûr que les apprentis rockers en herbe se retrouvent à travers ce portait de Bob, les autres non plus d'ailleurs. Et puis, il y a la fin du métrage, un peu consternante, aux allures dramatiques mêlées à un espèce de message d'espoir. Bref, cette séquence nous échappe sans qu'on comprenne vraiment la place qu'elle a ici. A vous de juger.
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Jules Sitruk, qui fut le héros de Monsieur Batignole de Gérard Jugnot, porte ce premier « long » réalisé par un vétéran de la télé suisse.
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Sous prétexte de mauvais goût et de mauvaises manières revendiquées, le réalisateur confond coupes brutales et coq-à-l'âne avec sens du rythme, roublardise narrative avec art du récit... C'est tenir en bien piètre estime l'esprit du rock'n'roll.
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La comédie d'Yves Matthey baigne dans une sorte de bricolage d'images et donne à voir des personnages bien ringards.
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Bob et les Sex-Pistaches entre direct au Panthéon des nanars hexagonaux les plus gouleyants.
