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Luc Moleux
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PHOTOS - Rashid Debbouze : connaissez-vous le frère de Jamel ?

Avec ses partenaires à l'écran et Philippe Faucon (deuxième gauche) qui lui a donné sa chance

Il a commencé dans le comique et le voilà propulsé dans le drame

Il a pris goût à la scène aux côtés de son célèbre frangin

Rashid Debbouze : connaissez-vous le petit frère de Jamel ?

Son prénom est encore méconnu, mais son nom et ses airs de famille ne trompent pas. Rashid Debbouze, frère cadet du célèbre comique, fait <strong>ses premiers pas au cinéma dans un rôle sombre et percutant</strong> à mille lieues des personnages légers et attachants qu?il incarne dans son one-man show. Comme ce frère aîné véritable prodige du rire qui lui a tout appris, Rashid s?est d?abord tourné vers l?humour, mais pourrait bien se révéler dans un tout autre domaine. Dans La Désintégration (sorti mercredi dernier dans les salles), nouveau film de Philippe Faucon qui traite de la montée de l?islamisme radical dans les banlieues, le petit frère de Jamel dévoile son côté obscur. Sans vraiment savoir où tout cela le mènerait, ni même s?il avait la carrure pour un tel projet, Rashid Debbouze a décidé de se lancer avec ce doute et cette inquiétude quasi-palpables qui confèrent à son personnage toute sa dimension dramatique. "<strong><em>J?appréhendais, parce que je n?avais jamais joué devant une caméra</em></strong>, a-t-il récemment confié à <em>Première.fr</em>. <strong>Tenir un rôle, je ne l?ai jamais fait. Le sujet du film est très délicat.</strong> Un jeune de banlieue qui cherche du travail, qui ne trouve aucun accès et qui rallie le côté extrémiste de la religion musulmane." À l?aube de ses 27 ans, Rashid Debbouze caresse le rêve d?emboîter le pas de son frère tout en traçant ses propres marques. <strong>Auteur d?un one man show qu?il peaufine avec soin depuis quelques années</strong>, le jeune homme refuse d?utiliser son nom de famille comme argument de vente, mais n?est pas prêt pour autant à renier l?influence de son frère aîné aux côtés duquel il a découvert la scène dès son plus jeune âge. "<em>J?ai suivi mon grand frère pendant pratiquement toute sa carrière</em>, nous a-t-il confié. <strong><em>Vu que j?étais le petit, ma mère me mettait souvent dans ses pattes. Il n'avait pas le choix, il était coincé avec moi.</em></strong>" Après avoir pris goût à la scène, Rashid ressent le besoin de trouver sa place et de faire ses propres marques, par le biais des voyages et des expériences. <strong>Petits jobs à Londres, Toronto, puis New York</strong>, avant que la France et ses devoirs familiaux ne le rappellent et c?est ici qu?il bâtit les fondements d?une toute nouvelle carrière, à coup de détermination et de volonté. "<strong><em>Quand mon frère remplissait les salles avec dix mille personnes, moi, parfois, je n?en avais qu?une</em></strong>", confiait-il récemment au <em>Parisien</em>. Car oui, se faire un prénom en <strong>sortant de l?ombre d?un parent célèbre</strong> n?est pas chose facile, beaucoup sont là pour nous le prouver. Mais quelque chose nous dit que Rashid Debbouze est bien parti pour remporter son pari. <strong>ET AUSSI : </strong>&nbsp;VIDEO - Interview : <strong>Rashid</strong> <strong>Debbouze</strong> héros de La Désintégration <strong>Amèle Debey</strong> @ameledebey sur Twitter

Une prestation qui séduit déjà beaucoup !

Sans avoir jamais pris de cours de comédie, le voilà propulsé à l'écran

Et le voilà en tête d'affiche !

Son prénom est encore méconnu, mais son nom et ses airs de famille ne trompent pas. Rashid Debbouze, frère cadet du célèbre comique, fait ses premiers pas au cinéma dans un rôle sombre et percutant à mille lieues des personnages légers et attachants qu’il incarne dans son one-man show. Comme ce frère aîné véritable prodige du rire qui lui a tout appris, Rashid s’est d’abord tourné vers l’humour, mais pourrait bien se révéler dans un tout autre domaine.Dans La Désintégration (sorti mercredi dernier dans les salles), nouveau film de Philippe Faucon qui traite de la montée de l’islamisme radical dans les banlieues, le petit frère de Jamel dévoile son côté obscur. Sans vraiment savoir où tout cela le mènerait, ni même s’il avait la carrure pour un tel projet, Rashid Debbouze a décidé de se lancer avec ce doute et cette inquiétude quasi-palpables qui confèrent à son personnage toute sa dimension dramatique. "J’appréhendais, parce que je n’avais jamais joué devant une caméra, a-t-il récemment confié à Première.fr. Tenir un rôle, je ne l’ai jamais fait. Le sujet du film est très délicat. Un jeune de banlieue qui cherche du travail, qui ne trouve aucun accès et qui rallie le côté extrémiste de la religion musulmane."À l’aube de ses 27 ans, Rashid Debbouze caresse le rêve d’emboîter le pas de son frère tout en traçant ses propres marques. Auteur d’un one man show qu’il peaufine avec soin depuis quelques années, le jeune homme refuse d’utiliser son nom de famille comme argument de vente, mais n’est pas prêt pour autant à renier l’influence de son frère aîné aux côtés duquel il a découvert la scène dès son plus jeune âge. "J’ai suivi mon grand frère pendant pratiquement toute sa carrière, nous a-t-il confié. Vu que j’étais le petit, ma mère me mettait souvent dans ses pattes. Il n'avait pas le choix, il était coincé avec moi."Après avoir pris goût à la scène, Rashid ressent le besoin de trouver sa place et de faire ses propres marques, par le biais des voyages et des expériences. Petits jobs à Londres, Toronto, puis New York, avant que la France et ses devoirs familiaux ne le rappellent et c’est ici qu’il bâtit les fondements d’une toute nouvelle carrière, à coup de détermination et de volonté. "Quand mon frère remplissait les salles avec dix mille personnes, moi, parfois, je n’en avais qu’une", confiait-il récemment au Parisien.Car oui, se faire un prénom en sortant de l’ombre d’un parent célèbre n’est pas chose facile, beaucoup sont là pour nous le prouver. Mais quelque chose nous dit que Rashid Debbouze est bien parti pour remporter son pari.ET AUSSI :  VIDEO - Interview : Rashid Debbouze héros de La DésintégrationAmèle Debey @ameledebey sur Twitter