PHOTOS – Fabrice Eboué et Thomas N’Gijol s’invitent au concert du rappeur Aelpeacha
DJ Eazy K, Fabrice Eboué, S.O.B.
Peu de gens le savent, mais il y a des années, Fabrice Eboué était connu sous le doux sobriquet de Mister Faf, et il rappait au sein du collectif Splifton. Comme <strong>dans cette vidéo</strong>, par exemple, où déjà l?humour prend le pas sur la musique.
Les danseuses ne laissaient personne indifférent
Présent sur scène avec son complice de toujours <strong>MSJ</strong>, <strong>Aelpeacha</strong> était accompagné de <strong>DJ Eazy K</strong> aux platines et <strong>S.O.B</strong> à la talk-box. Ainsi qu?une tripotée d?invités au style tout aussi marqué par les palmiers de Los Angeles : <strong>Driver</strong>, <strong>Ryu MC</strong>, <strong>Pimp Cynik</strong>? et des danseuses, ça ne peut pas faire de mal. Quant à l?artiste principal, il assurera la première partie de <strong>Snoop Dogg</strong> au Zénith le 4 juillet prochain. Preuve que l?assiduité finit toujours par porter ses fruits.
Les invités surprises valaient le détour
Samedi dernier, la Maroquinerie résonnait des rythmiques funky et du flow nonchalant du rappeur <strong>Aelpeacha</strong>. C?est un petit peu le fer de lance de toute une scène française qui s?est développée en marge de ce que certains considèrent comme la norme : des types aux sourcils froncés qui se plaignent sur du piano/violon. Le rappeur de Joinville lui, puise son inspiration du côté de la côte ouest plutôt que New York, et cela se ressent dans ses instrus et les thèmes qu?il aborde, sans pour autant sombrer dans la copie carbone. Par Yérim Sarpagebreak <em>Merci à 187prod pour les photos</em>
Bain de foule pour Thomas N'Gijol
Le public a eu la surprise de voir débarquer sur scène deux membres du Jamel Comedy Club : <strong>Thomas N?Gijol</strong> et <strong>Fabrice Eboué</strong>, qui ont interprété leurs « couplets » du titre <em>Poulet Citron</em>, tiré de l?album commun de <strong>MSJ </strong>et <strong>Aelpeacha</strong>. Moitié chant moitié sketch, leur prestation s?est conclue par une joyeuse queue leu leu dans la fosse. Le rap français c?est aussi ça.
Samedi dernier, la Maroquinerie résonnait des rythmiques funky et du flow nonchalant du rappeur Aelpeacha. C’est un petit peu le fer de lance de toute une scène française qui s’est développée en marge de ce que certains considèrent comme la norme : des types aux sourcils froncés qui se plaignent sur du piano/violon. Le rappeur de Joinville lui, puise son inspiration du côté de la côte ouest plutôt que New York, et cela se ressent dans ses instrus et les thèmes qu’il aborde, sans pour autant sombrer dans la copie carbone.Par Yérim Sar
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