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HD1 rediffuse la première histoire d'amour d'Emma Stone et Ryan Gosling ce soir.

HD1 profite de la sortie de La La Land pour proposer ce soir Crazy Stupid Love, la comédie de John Requa et Glenn Ficarra qui marque la première apparition du couple de cinéma composé d'Emma Stone et Ryan Gosling. Depuis ce joli succès de 2011, ils sont à nouveau tombés amoureux dans Gangster Squad, un an plus tard, avant d'être les stars du film événement de Damien Chazelle.

Ryan Gosling et Emma Stone : une romance en vidéo

Les réalisateurs d'I love You Philip Morris semblent avoir retenu la leçon : le sujet de leur comédie portée par Jim Carrey et Ewan McGregor (l'homosexualité) était trop taboue pour les Etats-Unis ? Qu'à cela ne tienne, ils en ont choisi un autre qui n'a pas choqué les Américains, même les plus puritains, puisque étudié de long en large dans TOUTES les comédies romantiques : l'amour. Mais leur manière de traiter ce thème parvenait tout de même à être originale et bien sentie : entre cours de séduction (Steve Carell, plaqué par sa femme Julianne Moore, prend des cours de drague auprès de Ryan Gosling), blagues sur Twilight ou Photoshop, le résultat est très drôle.


La La Land : et Emma Stone rejoint les étoiles

Voici notre critique : "Aux commandes de cette comédie, les réalisateurs Glenn Ficarra et John Requa sont, à leur façon, des résistants. (...) Leur message ? Reste toi-même envers et contre tous, ce qui correspond peu ou prou au principe des productions Apatow, cinéaste avec lequel les deux réalisateurs partagent de nombreux points communs en sus de l’inénarrable Steve Carell. Question : qu’est-ce qui différencie une excellente comédie d’une bonne ? Le message, on l’a dit, mais aussi l’ironie (plus que l’humour), les changements de ton (Julianne Moore, héroïne du cinéma indépendant, assure ici la partie « sérieuse ») et, surtout, cette capacité rare à caser des morceaux de bravoure sans nuire à la fluidité de l’histoire et aux intentions de départ. Dans Crazy Stupid Love, on recense une demi-douzaine de séquences immédiatement cultes et complètement intégrées au propos : de l’indiscrétion d’un collègue de bureau concernant le divorce du héros au pétage de plombs d’une maîtresse bafouée en passant par les fantasmes d’une baby-sitter mal dans sa peau, les deux cinéastes dressent un portrait assez inquiétant de l’Américain moyen, dont la perfection de façade dissimule souvent un monstre de névroses et de frustrations."

Une comédie romantique qui donne la pêche et fait sourire à revoir ce soir à partir de 20h55.

Emma Stone traumatisée par le tournage d'une scène de Crazy, Stupid Love