Toutes les critiques de Zaytoun

Les critiques de Première

  1. Première
    par Jean-Philippe Guerand

    Un très beau film sur la possibilité d'une réconciliation au Moyen Orient porté par des acteurs formidables.

  2. Première
    par Stéphanie Lamôme

    En 1982, un pilote de chasse israélien tombé du ciel et un enfant, réfugié palestinien, traversent ensemble le Liban en guerre pour rejoindre Israël. De la défiance à l’amitié indéfectible, il y a 1 h 20 de film, avec apprivoisement mutuel et perte des préjugés au (prévisible) programme, auxquels s’ajoute un épilogue symbolique beaucoup trop long. Dommage car ce road-movie gentiment politique aux allures de conte universel, réalisé par Eran Riklis (Les Citronniers), avait le mérite d’être plus simple que simpliste.

Les critiques de la Presse

  1. Le Canard Enchainé
    par La rédaction du canard enchaîné

    Une belle histoire, presque une fable, émouvante à souhait.

  2. Pariscope
    par Dimitri Denorme

    Une réalisation soignée et un ensemble qui ne manque pas de rythme. A l'écran le jeune Abdallah El Akal s'avère d'un naturel déroutant. Quant à Stephen Dorff il est d'une belle justesse.

  3. A voir à lire
    par Camille Lugan

    La rencontre improbable de deux camps ennemis en pleine guerre du Liban, traitée avec humour par le cinéaste israélien Eran Riklis. Un thriller de guerre populaire, qui a le mérite de ressaisir avec finesse certains enjeux du conflit israélo-palestinien.

  4. Elle
    par Anne Diatkine

    Le film se focalise sur Fahed, qui abat un avion de chasse. Victoire, c’est un héros ! Capture, emprisonnement, torture du pilote. Comment le jeune garçon et le beau soldat israélien sont amenés malgré eux à se sauver mutuellement la vie, dans un voyage périlleux qui leur fait traverser des champs de mines en terre israélo-palestinienne, c’est l’objet
    de ce road-movie, dont on n’attendait pas qu’il nous emporte.

  5. L'Express
    par Christophe Carrière

    Un film honnête, porté par le jeune Abdallah el-Akal, qui peut s'enorgueillir de faire tout le boulot. Son naturel, savoureux mélange d'innocence et d'insolence, bouffe l'écran du début à la fin.

  6. Nouvel Obs
    par François Forestier

    Road-movie chaleureux, le film d’Eran Riklis (« la Fiancée syrienne », « les Citronniers ») est aussi un message d’espoir. Et même si le récit est un tantinet angélique, on est pris : c’est drôle, touchant. On a envie d’y croire. On y croit.

  7. Le Figaro
    par Marie-Noëlle Tranchant

    Dans le Liban en guerre, un pilote israélien se lie avec un enfant arabe. La fable d'Eran Riklis dose avec justesse action, réalisme et poésie.

  8. Version Femina
    par Anne Michelet

    C’est l’histoire de cette amitié improbable que raconte, avec beaucoup de simplicité, ce film du réalisateur israélien. La sobriété de l’interprétation confère au duo d’acteurs (comme à l’ensemble de la distribution) une belle authenticité. Leur périple au cœur de magnifiques paysages, contrastant avec l’horreur de la guerre, a de quoi émouvoir, en dépit d’un dernier quart d’heure à la traîne

  9. CinémaTeaser
    par Rose Piccini

    Zaytoun trouve sa force dans ses situations plus tendues et par l'interprétation d'un casting international, notamment celle de Stephen Dorff, dont l'aura très Hollywoodienne parvient parfaitement à se fondre dans ce film fragile.

  10. Toutlecine.com
    par Camille Esnault

    Zaytoun regarde le conflit iraëlo-palestinien d’un œil peu original et un peu naïf. Mais malgré ses nombreuses maladresses, il réussit une prouesse, lorsqu’on en vient à aborder ce genre de sujet : un espoir irraisonné qui nous donne envie d’y croire.

  11. Les Cahiers du cinéma
    par Ariel Schweitzer

    Au-delà de son intrigue complètement invraisemblable, la dimension mélodramatique du film ne fait que masquer les vraies questions politiques que soulève l'invasion israëlienne du Liban. REste un jeu d'acteurs plutôt convaincant.

  12. Les Fiches du cinéma
    par La redaction de Les Fiches du Cinema

    L'amitié inattendue entre un jeune réfugié palestinien et un pilote israélien tombé sur Beyrouth en 1982 est le nouveau sujet d'Eran Riklis. Le spectateur s'immisce avec émotion dans leur périple initiatique vers leur Palestine commune.

  13. Evene
    par Olivier De Bruyn

    Et Zaytoun, récit généreux en digressions humanistes et symboles un rien écrasants (...), embarque sans problème dans ses péripéties mi tragiques mi cocasses. Problème : en voulant ratisser large (...), le cinéaste oublie en chemin la vraisemblance, comme en témoigne la langue anglaise que parlent impeccablement et presque sans accent tous les personnages du film, (...). Quant à l'apparition inattendue d'Alice Taglioni, (...) si l'actrice interprète courageusement sa partition, sa ravissante présence en ces lieux ne contribue pas vraiment à la crédibilité de ce film respectable, mais très inégal.

  14. StudioCiné Live
    par Véronique Trouillet

    une fable gentiment simpliste, voire naïve, mais pleine d'optimisme. C'est beau de rêver.

  15. A nous Paris
    par Fabien Menguy

    Un film touchant, qui évite les clichés et nous cueille habilement.

  16. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    Un première partie juste (...) la suite est plus convenue : elle se raccroche aux convenances d'un scénario fabriqué pour être un peace-movie.

  17. Les Inrocks
    par Vincent Ostria

    Riklis a certes le sens du grand spectacle, mais celui des coproductions germanoyougoslaves des années 60, c’est-à-dire du toc à tous les étages, avec un max d’agitation et de figuration.

  18. La Croix
    par Arnaud Schwartz

    Le réalisateur des « Citronniers » échoue à convaincre avec cette fable sur la découverte de l’autre, par-delà la haine.

  19. Le Monde
    par La redaction du Monde

    Une somme d'invraisemblances que n'excusent pas les bonnes intentions du metteur en scène et du scénariste.

  20. Télérama
    par Blottière Mathilde

    Cette fable sur l'amitié d'un pilote israélien et d'un gamin palestinien dans les années 80 joue sans scrupules sur la corde sensible en évitant soigneusement tout regard politique. De quoi conforter ceux qui pensent que "la guerre-est-bien-cruelle-mais-qu'on-n'y-peut-rien-ma bonne dame".