Toutes les critiques de Une histoire d'amour et de ténèbres

Les critiques de la Presse

  1. Le JDD
    par Stéphanie Belpêche

    La réalisatrice évacue très vite la complexité du conflit israélo-palestinien pour se concentrer sur la souffrance de son héroïne, qui décline doucement. Malgré la justesse de sa performance, on s’ennuie ferme.

  2. 20 Minutes
    par Stéphane Leblanc

    Une épopée romanesque, certes tragique, mais de facture classique aussi bien dans sa construction que sa réalisation.

  3. Gala
    par Juliette Serfati

    Natalie Portman livre un long-métrage formel­le­ment réussi, souvent émou­vant, parfois réduc­teur, qui parvient mal à traduire la puis­sance de la langue d’Amos Oz.

  4. Les Inrocks
    par Serge Kaganski

    Une classique chronique d’enfance, soigneusement mise en images par des techniciens compétents, dans un style académique rétro peu intéressant mais pas indigne. (...) L’actrice aime à l’évidence se filmer selon tous les angles et dans toutes les situations et ça peut se comprendre vue sa beauté incontestable, mais ça ne suffit pas à nourrir un film dont le meilleur reste la voix off,

  5. Le Monde
    par Thomas Sotinel

    Le malheur de cette femme et les traces qu’il laisse sur le destin de son enfant semblent souvent être le prétexte à des portraits mettant en valeur la pâleur et les cernes délicats de l’actrice.(...) Ce soupçon de narcissisme qui s’insinue pourrait rester véniel. Mais il éclot dans un film si compassé, si désuet, qu’il en reste le seul élément mémorable.

  6. Metro
    par Mehdi Omaïs

    Abusant des filtres et des ralentis, sa mise en scène (de Natalei Portman ndlr) - scolaire au demeurant - est totalement dysharmonieuse et jette de la confusion à un propos qui aurait mérité plus de limpidité.

  7. Libération
    par Clémentine Gallot

    Cette reconstitution costumée dans un sépia délavé de carte postale jaunie (effet d’époque garanti) verse rapidement dans un académisme embarrassant, lesté de ralentis, voix off et violons intempestifs.

  8. Elle
    par Françoise Delbecq

    Un film assez ennuyeux.