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La réalisatrice évacue très vite la complexité du conflit israélo-palestinien pour se concentrer sur la souffrance de son héroïne, qui décline doucement. Malgré la justesse de sa performance, on s’ennuie ferme.
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Une épopée romanesque, certes tragique, mais de facture classique aussi bien dans sa construction que sa réalisation.
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Natalie Portman livre un long-métrage formellement réussi, souvent émouvant, parfois réducteur, qui parvient mal à traduire la puissance de la langue d’Amos Oz.
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Une classique chronique d’enfance, soigneusement mise en images par des techniciens compétents, dans un style académique rétro peu intéressant mais pas indigne. (...) L’actrice aime à l’évidence se filmer selon tous les angles et dans toutes les situations et ça peut se comprendre vue sa beauté incontestable, mais ça ne suffit pas à nourrir un film dont le meilleur reste la voix off,
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Le malheur de cette femme et les traces qu’il laisse sur le destin de son enfant semblent souvent être le prétexte à des portraits mettant en valeur la pâleur et les cernes délicats de l’actrice.(...) Ce soupçon de narcissisme qui s’insinue pourrait rester véniel. Mais il éclot dans un film si compassé, si désuet, qu’il en reste le seul élément mémorable.
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Abusant des filtres et des ralentis, sa mise en scène (de Natalei Portman ndlr) - scolaire au demeurant - est totalement dysharmonieuse et jette de la confusion à un propos qui aurait mérité plus de limpidité.
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Cette reconstitution costumée dans un sépia délavé de carte postale jaunie (effet d’époque garanti) verse rapidement dans un académisme embarrassant, lesté de ralentis, voix off et violons intempestifs.
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Un film assez ennuyeux.