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Selon l’humeur, on pourra être sensible au fait que ce premier film s’inspire des mémoires d’un videur de boîte de nuit dans l’Angleterre mouvementée des années 1980. Mais, au lieu d’exploiter des situations potentiellement intenses,
le script rudimentaire les neutralise. La mise en scène, également approximative, empêche encore ce Club d’arriver à la cheville de Trainspotting, auquel il a été absurdement comparé.
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On aimerait suivre de plus près encore le cheminement de ce héros émotif et singulier, si bien énoncés avec des acteurs formidables. Mais espoir déçu par un scénario prévisible.