Synopsis
Trois jours dans la vie de la coach de fitness Sylwia Zajac, une célébrité des réseaux sociaux entourée d'employés et d'admirateurs fidèles, mais qui recherche simplement calme et intimité.
Date de sortie | 15 juin 2022 |
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Durée | 106 mn |
Réalisé par | Magnus von Horn |
Avec | Magdalena Koleśnik , Julian Świeżewski , Aleksandra Konieczna |
Scénariste(s) | Magnus von Horn |
Année de production | 2020 |
Pays de production | POLOGNE, Suède |
Genre | Drame |
Couleur | Couleur |
Trois jours dans la vie de la coach de fitness Sylwia Zajac, une célébrité des réseaux sociaux entourée d'employés et d'admirateurs fidèles, mais qui recherche simplement calme et intimité.
« Tout le monde l’adore. Personne ne l’aime », dit la tagline sur l’affiche, pour résumer la situation. Sylwia est une coach sportive jeune, blonde, belle, athlétique, une influenceuse très populaire suivie par 600 000 abonnés. Mais quand vient le soir, et qu’elle éteint son smartphone, elle n’a plus personne à qui parler… Porté par l’énergie de l’actrice Magdalena Kolesnik, le début de Sweat intrigue, mais le film finit par s’égarer dans des scènes trop longues, nébuleuses, donnant une impression d’improvisation, où l’exhibitionnisme de Sylwia est mis en parallèle avec celui d’un harceleur qui se masturbe dans une voiture garée en bas de chez elle. Tout à son discours sur les réseaux sociaux, tour à tour décrits comme oppressants et libérateurs, Magnus von Horn ne parvient pas à trouver la clé émotionnelle qui nous permettrait de compatir à la détresse existentielle de son héroïne.
« Tout le monde l’adore. Personne ne l’aime », dit la tagline sur l’affiche, pour résumer la situation. Sylwia est une coach sportive jeune, blonde, belle, athlétique, une influenceuse très populaire suivie par 600 000 abonnés. Mais quand vient le soir, et qu’elle éteint son smartphone, elle n’a plus personne à qui parler… Porté par l’énergie de l’actrice Magdalena Kolesnik, le début de Sweat intrigue, mais le film finit par s’égarer dans des scènes trop longues, nébuleuses, donnant une impression d’improvisation, où l’exhibitionnisme de Sylwia est mis en parallèle avec celui d’un harceleur qui se masturbe dans une voiture garée en bas de chez elle. Tout à son discours sur les réseaux sociaux, tour à tour décrits comme oppressants et libérateurs, Magnus von Horn ne parvient pas à trouver la clé émotionnelle qui nous permettrait de compatir à la détresse existentielle de son héroïne.