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Lorsque les danseurs sont nombreux, comme au début de "Sexy Dance 4", il y a de quoi perdre la tête. (...) Le véritable échec du film tient au côté tape à l'oeil et globalement peu gracieux des chorégraphies.
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Chaque intervention relève de l’exploit physique, avec montage tonitruant qui vient soulever le spectateur hors de son siège lors des nombreux effets de la 3D relief. C’est aussi creux que beau visuellement, la réalisation est punchy et assurément les chorégraphies sont parmi les plus spectaculaires jamais vues à l’écran. (...) Bref, une comédie musicale urbaine puissante !
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Le scénario (...) est ici particulièrement faible et démago. Côté choré, puisque c'est là le véritable enjeu, Scott Speer nous laisse croire le temps d'un scène inaugurale affolante, qu'il parviendra à égaler le génial Jon Chu (...). Mais en dépit de quelques passages inspirés (...) il ne retrouve jamais la grâce de son prédécesseur.
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Le coup de Roméo, breakdancer pauvre, qui tourne autour de Juliette, riche danseuse classique, on nous l'avait déjà fait (en mieux) dans "Sexy Dance 1" (...) comme d'habitude, les acteurs expriment mieux leurs sentiments par le mouvement que par la parole. Et, comme d'habitude, il y a une ou deux chorégraphies qui sortent du lot (...) mais, plutôt que de réaliser indéfiniment la même bluette saupoudrée de lutte des classes, il faudrait, peut-être, songer à inventer.
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Le scénario (...) est ici particulièrement faible et démago. Côté choré, puisque c'est là le véritable enjeu, Scott Speer nous laisse croire le temps d'un scène inaugurale affolante, qu'il parviendra à égaler le génial Jon Chu (...). Mais en dépit de quelques passages inspirés (...) il ne retrouve jamais la grâce de son prédécesseur.
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Les mouvements sont lisses comme jamais et les fans viendront comme toujours en masse pour voir les cascades, mais le vernis de protestation ne parvient pas à effacer cette sensation que ce film est aussi idiot qu'une brique.
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- Sexy Dance 4 : Miami Heat
Sexy Dance 4 : Miami Heat
Pressse
(6 critiques)