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L’adolescence, âge des extrêmes, a fourni matière à nombre de films rageurs et délicats, destroy et ambigus. On retrouve tout ça dans le premier long de la Canadienne Alison Murray. Documentariste de formation, elle a su insuffler à sa mise en scène l’urgence nécessaire pour nourrir une réflexion, un rien prévisible, sur les dérives du communautarisme lorsqu’il
se prévaut d’un idéal de pureté et de discipline. Quant à Ellen Page, l’œil khôlé et le cheveu sale, elle incarne avec un peu trop d’évidence la « rebelle attitude ».
Toutes les critiques de Rebelle adolescence
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Sans la présence d'Ellen Page, l'héroïne de Juno, sûr que ce film, datant de 2005, n'aurait jamais trouvé de distributeur français. Le scénario navigue entre indolence et incohérence (...) mais Alison Murray a soigné sa BO (The Stranglers, The Birthday Party) et filme plutôt bien les corps en errance.
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Ellen Page, la jeune actrice révélée par Juno l'année dernière, est l'argument principal de cette coproduction européenne. (...) Sans grande subtilité, la réalisatrice entreprend de dénoncer les mécanismes des sectes.