Toutes les critiques de Paco de Lucía : légende du flamenco

Les critiques de Première

  1. Première
    par Isabelle Danel

    Signé par le fils du musicien qui révolutionna le flamenco, le film résume son parcours, en un montage classique d’interviews et d’archives. Il s’envole en donnant à voir les doigts qui courent sur la guitare, produisant un son unique.

  2. Première
    par Isabelle Danel

    Signé par le fils du musicien qui révolutionna le flamenco, le film résume son parcours, en un montage classique d’interviews et d’archives. Il s’envole en donnant à voir les doigts qui courent sur la guitare, produisant un son unique. 

Les critiques de la Presse

  1. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    Un passionnant portrait du virtuose de la guitare flamenco. 

  2. Télérama
    par Anne Berthod

    (...) un document d'exception, émouvant pour les fans comme pour les néophytes, dont chaque palo joué invite à dévorer dans son intégralité l'oeuvre d'un génie de ce siècle. 

  3. Le Monde
    par Thomas Sotinel

    (...) un portrait rigoureux du guitariste andalou, qui suit pas à pas le parcours tumultueux d’un enfant prodige, adulé dans le monde entier en même temps qu’il était mis au ban de sa communauté d’origine, celle du flamenco.

  4. Le Figaro
    par La Rédaction du Figaro

    (...) un documentaire sans complaise sur la star du flamenco.

  5. L'Humanité
    par Vincent Ostria

    Au demeurant un solide documentaire, étayé par des images au présent, tournées peu avant la mort du musicien. 

  6. A voir à lire
    par Nathalie Piche

    L’ensemble du récit coule comme une source "entre dos aguas" et on ressort de la salle revigoré et enchanté.

  7. Nouvel Obs
    par La rédaction du Nouvel Obs

    Les amateurs vont adorer le film, les autres découvriront un nouvel état de grâce.

  8. Les Inrocks
    par Vincent Ostria

    Pour ceux qui comme nous ne connaissaient Paco de Lucía (1947-2014) que de réputation, c’est une découverte.

  9. Critikat.com
    par François Giraud

    Trop propre, trop lisse, le film n’adopte pas le goût pour l’improvisation de son sujet, et s’avère plutôt impersonnel et superficiel, la faute à sa mise en scène platement illustrative et à sa structure narrative trop prévisible.