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Ce premier long métrage relate une histoire d’amour poignante d’acuité sur fond de crise sociale à Cuba.
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Hymne à l'amour, méditation politique, portrait d'une civilisation post-révolutionnaire et brillant exercice de style : ce premier long-métrage excelle sur tous les points.
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Tant de petits détails qui débordent l’anecdote intime et donnent à Melaza une véritable sensibilité politique.
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“Melaza” est la juste chronique d'une société de laissés-pour-compte et davantage encore, l'histoire d'un amour des temps modernes.
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En évitant tout pathos, le réalisateur révèle l'absurdité de l'emprise communiste à Cuba, la misère qui ronge le peuple jusqu'à la honte.
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Le film démarre par une critique du communisme made in Cuba – Monica téléphone un rapport quotidien sur l’usine en ruine qu’elle surveille, Aldo, enseigne la natation dans une piscine sans eau
– pour enchaîner sur une chronique familiale qui aurait mérité un peu plus de peps. Une révélation : la sensuelle Yuliet Cruz. -
Le quotidien d'une famille démunie permet au cinéaste de suggérer un portrait elliptique de la société cubaine (...) Mais au lieu d'emphase dramatique, une résilience humaine et tranquille.
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Pour son premier long métrage, Carlos Lechuga pose un regard désabusé sur Cuba, pays censé défendre les travailleurs mais qui laisse les usines à l'abandon. Dénonciation féroce d'une économie à bout de souffle.
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En filmant la combativité d’un couple face aux difficultés de la vie, le réalisateur cubain Carlos Lechuga nous fait partager dans une belle sensibilité le quotidien des Cubains.