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Adapté d’un livre pour enfants datant des années 30, M. Popper... exploite un thème très familier : comment l’intrusion d’un animal fait ressortir le meilleur chez l’être humain. Carrey, toujours fringant pour un quasi-quinquagénaire, joue le rôle d’un père de famille à la recherche de ses vraies valeurs. Sans surprise, il est à la fois le pilier et le principal attrait de ce long métrage. Toujours charmeur, l’acteur s’est un peu calmé mais prouve, chaque fois que nécessaire, qu’il peut encore passer dans la zone rouge. On verra si ça plaira aux enfants, à qui ce film est destiné en priorité.
Toutes les critiques de M. Popper et ses pingouins
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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M. Popper et ses pingouins n'est pas un film expérimental. Il faut toutefois lui reconnaître une véritable originalité
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Indéniablement, les pingouins sont cinégéniques et plairont aux enfants auxquels se destine cette gentillette comédie familiale.
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Une comédie pour enfants sympathique, mais qui sacrifie un peu vite sa fantaisie au conformisme familial.
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A défaut d'audace ou d'originalité, Mark Waters (Lolita malgré moi) évite le nanar annoncé en faisant de ce conte familial animalier un divertissement soigné avec Jim Carrey. C'est déjà bien.
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Deux films pour le prix d’un : une comédie familiale traditionnelle reposant sur la mignonnerie animalière (le pitch : des pingouins investissent l’appartement new-yorkais d’un promoteur immobilier), programme néanmoins assujetti au numéro de dinguerie de Jim Carrey. Présence qui fait planer la menace d’un détraquement sur le récit, lequel voisine par éclairs avec la paranoïa et le délire obsessionnel – on pense surtout à l’impossible éclosion d’un œuf, moment suspendu vraiment barré et assez émouvant. Et si le film retombe à pieds joints dans sa nunucherie originelle, on reste preneur de ses quelques glissades inattendues.