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Un vizir (Jean-Paul Rouve) qui veut être calife à la place du calife (Michel Blanc). Une princesse canon (Vanessa Guide) qui se languit, au côté de sa servante (Audrey Lamy). Un petit voleur à la tire nommé Aladin (Kev Adams) qu'un génie facétieux (Eric Judor) va métamorphoser en prince charmant plein aux as, tels sont les ingrédients de ce couscous cinématographique qui va faire le bonheur des 12-15 ans, cibles évidentes de ce sympathique blockbuster à la française.
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par Alain Spira
Toutes les critiques de Les Nouvelles Aventures d'Aladin
Les critiques de la Presse
Un vizir (Jean-Paul Rouve) qui veut être calife à la place du calife (Michel Blanc). Une princesse canon (Vanessa Guide) qui se languit, au côté de sa servante (Audrey Lamy). Un petit voleur à la tire nommé Aladin (Kev Adams) qu'un génie facétieux (Eric Judor) va métamorphoser en prince charmant plein aux as, tels sont les ingrédients de ce couscous cinématographique qui va faire le bonheur des 12-15 ans, cibles évidentes de ce sympathique blockbuster à la française.
Dans cette version moderne d’Aladin, le réalisateur mêle un humour inspiré des contes des Mille et Une nuits avec des références à la génération 2.0. Si certaines blagues sont bien senties, d’autres tombent carrément à plat avec des anachronismes très grossiers et un peu tirés par les cheveux. Les fans de Kev Adams seront sans doute plus indulgents que le reste du public.
Dans cette version moderne d’Aladin, le réalisateur mêle un humour inspiré des contes des Mille et Une nuits avec des références à la génération 2.0. Si certaines blagues sont bien senties, d’autres tombent carrément à plat avec des anachronismes très grossiers et un peu tirés par les cheveux. Les fans de Kev Adams seront sans doute plus indulgents que le reste du public.
Si nanar soit-il, cet Aladdin new look se révèle toutefois moins crapoteux que le Robin des Bois de Max Boublil. Sacrément plus sympathique, hormis certains quiproquos graveleux, fiers fleurons de la franchouillardise. (...) Notons une révélation en la personne d’Arthur Benzaquen qui chuinte mieux qu’il ne filme mais se révèle autrement plus drôle que Kev Adams et consorts, acteurs bas-de-casse héritiers de Michael Youn, héros analphabètes que l’époque tente d’ériger en modèles de fantaisie.
Si nanar soit-il, cet Aladdin new look se révèle toutefois moins crapoteux que le Robin des Bois de Max Boublil. Sacrément plus sympathique, hormis certains quiproquos graveleux, fiers fleurons de la franchouillardise. (...) Notons une révélation en la personne d’Arthur Benzaquen qui chuinte mieux qu’il ne filme mais se révèle autrement plus drôle que Kev Adams et consorts, acteurs bas-de-casse héritiers de Michael Youn, héros analphabètes que l’époque tente d’ériger en modèles de fantaisie.