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Esfandyar vit à Paris depuis vingt ans et s’est éloigné de l’Iran et de sa famille suite à la «trahison» de son père. Esfandyar est en train de perdre la vue. Pour toutes ces raisons, il pensait ne plus «revoir» Téhéran. De cette histoire d’un homme qui ne peut échapper à ses souvenirs, la réalisatrice de Rêve de sable tire une fable dolente, mélancolique et douloureuse sur le ressentiment.