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Plans légèrement décadrés, love story principale mise au même plan que les intrigues satellitaires : il y a quelque chose d’étonnant dans cette variation corrézienne autour de la figure d’Emma Bovary. Mais, à mesure qu’on s’approche de son héroïne tragique (superbe Adélaïde Leroux), le mystère s’érode un peu dans une sécheresse documentaire.
Toutes les critiques de Le Chant du Merle
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Cette chronique douce d'un coeur qui se met à battre plus fort est d'autant plus bouleversante qu'elle expose à la désillusion les espoirs les plus humbles.
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Grâce à une mise en scène et des dialogues épurés, et l’interprétation tout en simplicité de ses comédiens, Frédéric Pelle crée une œuvre cinématographique d’une force et d’une intensité rares, quelque part entre la chronique sentimentale et le mélodrame japonais.
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(...) un tout petit film sur l'amour, l'ennui et les désillusions, dont la modestie touche durablement.
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(...) le film échoue complètement à négocier le tour cruel et tragique de son dénouement, et finit par sombrer dans une conclusion grotesque.
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Son film est aussi gentil que son héroïne et, comme elle, il manque de force. La composition d’Adélaïde Leroux, surtout, retient l’attention.
