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Mère Augustine dirige un petit couvent où elle prodigue à ses élèves une éducation musicale sans pareille. L’arrivée de sa nièce, Alice, la renvoie à sa jeunesse. Nous sommes au Québec en 1962, à l’ouverture de Vatican II: alors qu’un système d’éducation publique se met en place, le couvent est menacé. Remarquablement écrit, jamais simpliste, le film se déploie en questions légitimes, sur la foi, la musique et la modernité, sans oublier d’être drôle. Classique par la forme, baigné d’une belle lumière, ce long de la réalisatrice d’Anne Trister (1985) fait la part belle au chant choral et à la composition pour piano. Les actrices, dont Céline Bonnier, sont magnifiques.
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Les critiques de la Presse
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Ce film multipliant les rôles féminins superficiels, n'évite pas le mélo sirupeux dans son final.