Toutes les critiques de L'Age de glace 4 : La dérive des continents
Les critiques de la Presse
-
Télé 7 jours
par Uriell Ceillier
Quel plaisir de retrouver cette délicieuse équipe d’icônes givrées. Surtout qu’après un troisième volet un rien décevant, cette nouvelle odyssée rigolote reprend du poil de la bête en surfant sur la « flibustière attitude » en vogue depuis Pirates des Caraïbes. L’autre motif de satisfaction, la 3D est, cette fois, époustouflante : la tempête donnerait presque le mal de mer ! Seul petit bémol, le rythme joue un peu au yoyo. Vraiment pas de quoi rafraîchir la chaude ambiance. Alors, tous à l’abordage !
-
Le Parisien
par Alain Grasset
On reste babas devant les spectaculaires séquences de tempête, d'éboulements et de combats auxquelles la 3D donne évidemment beaucoup de réalisme. Le tout mis en relief par des dialogues bourrés d'humour aux références contemporaines.
-
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Dérive des continents et combats de pirates, trésors d'invention scénaristique et gags visuels à profusion. Un quatrième opus réjouissant débordant d'humour et de références cinématographiques. A l'abordage !
-
par Nathalie Dassa
L'histoire ici reste simple mais efficace et ajoute avec enchantement de nouveaux personnages caractérisés et cocasses à ce bestiaire hors du commun.
On a beau connaître la formule par coeur, les aventures de Manny le mammouth, Sid le paresseux et Diego le tigre (...) continuent de nous faire fondre. (...) Les personnages comme les gags redoublent encore d'originalité.
20 Minutes
par Caroline Vié
Pas question de roupiller pendant ce quatrième volet. Il y a de l'action et de l'humour en trois dimensions.
par Thierry Chèze
Contrairement à l'opus précédent, cet Age de glace- là a la bonne idée de ne pas uniquement s'appuyer sur les seuls gags mettant en scène Scrat. Ceux-ci se révèlent certes toujours aussi hilarants mais les pérégrinations Manny-Diego-Sid sont servies par un scénario mieux travaillé et l'ajout réussi de nouveaux personnages, en tête desquels l'hilarante grand-mère de Sid. Au moment où nombre de sagas nous ont récemment déçus sur la longueur (Toy Story, Madagascar...), L'Age de glace crée une jolie surprise. Voilà un divertissement familial mais qui a su ne pas s'endormir sur les lauriers dorés de ses triomphes successifs au box-office.
par Caroline Vié
Pas question de roupiller pendant ce quatrième volet. Il y a de l'action et de l'humour en trois dimensions.
par Alain Grasset
On reste babas devant les spectaculaires séquences de tempête, d’éboulements et de combats auxquelles la 3D donne évidemment beaucoup de réalisme. Le tout mis en relief par des dialogues bourrés d’humour aux références contemporaines. D’ailleurs, comme à l’habitude, la version française de ces nouvelles aventures animalières est particulièrement soignée. A l’évidence, Elie Semoun, Alain Chabat, Gérard Lanvin et Vincent Cassel (voir ci-contre) ont eux aussi fondu pour « l’Age de glace 4 ».
par Fabien Menguy
Des histoires assez classiques, mais propices à des retrouvailles sympathiques et à des personnages secondaires décalés, voire décalqués, et à un Scrat toujours aussi en forme dans des scènes encore une fois d’anthologie.
Excessif / TF1 News
par Nicolas Schiavi
Si le trio continue à nous enchanter, les vraies surprises sont à aller chercher du côté des nouveaux protagonistes. C'est ce qui fait la force et la faiblesse du film... (...) "L'Age de glace 4 : la dérive des continents" reste tout de même un bon moment d'action et d'humour au rythme frénétique mais jamais barbant.
Le JDD
par Stéphanie Belpêche
Une fois encore, on passe un agréable moment en compagnie de ces animaux préhistoriques très attachants.
Ecran Large
par Laurent Pécha
Un numéro 4 qui ne fait pas honte à ses prédécesseurs. Cela relève presque du miracle à Hollywood
A voir à lire
par Estelle Charles
L’âge de Glace 4, c’est une armada d’effets spéciaux qui donnent le tournis, plein de nouvelles têtes, dont certaines (la grand-mère de Sid) sont destinées à être cultes, beaucoup de bons sentiments, évidemment, et un Scrat qui plastronne et permet à l’ensemble de se maintenir à flot. Jusqu’au prochain épisode.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Si, visuellement, le résultat est impressionnant, on regrette la simplicité bon enfant des premiers films, abandonnée au profit d'une débauche de rebondissements.
Les Inrocks
par Guillaume Sbalchiero
l’odyssée quasi homérique de cet équipage improvisé laisse une impression d’inachevé. Bien sûr le spectaculaire – quoique pompier – en jette plein les yeux. Bien sûr les personnages restent attachants. Mais à force de vouloir séduire petits et grands, le grain de folie et l’intelligence scénaristique se laissent parfois submerger par la mièvrerie et la balourdise. Mais la morale est sauve, et le film aussi.
par Jacques Mandelbaum