Toutes les critiques de Je suis Supporter du Standard

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    La première réalisation de Riton Liebman, l’inoubliable ado de Préparez vos mouchoirs, est une autobiographie à peine voilée : comme lui, son héros porte un diminutif (Milou pour Maurice) ; il est accro (au foot, alors que Riton, c’était à l’héroïne) et il s’est sorti de son addiction au forceps. Excès de pudeur ? Avec sa romance convenue, ses seconds rôles schématiques et ses raccourcis scénaristiques, Je suis supporter du Standard (de Liège, avis aux amateurs) préfère jouer la montre plutôt que de développer du beau jeu.

Les critiques de la Presse

  1. Le Canard Enchainé
    par David Fontaine

    Cette sympathique comédie belge, écrite, réalisée et interprétée par Riton Liebman, repose en grande partie sur sa verve et son abattage.

  2. Le Parisien
    par Hubert Lizé

    Je suis supporter du standard a su trouver le tempo juste pour raconter la passion du foot. Un sans faute à la second près : le film dure 90 minutes.

  3. Têtu
    par Louis Maury

    Très modeste, ce film joue sur l'humour et le second degré. Même si on déteste le foot, difficile de ne pas être amusé par sa petite musique.

  4. L'Express
    par Christophe Carrière

    Visuellement pauvre, son film demeure attachant par sa sincérité et son irrésistible humour belge.

  5. Voici
    par Ariane Valadié

    Une petite comédie maladroite, bancale, honnête et sans prétention.

  6. Toutlecine.com
    par Romain Duvic

    On ne sait au final pas vraiment à qui s'adresse ce métrage, qui joue sur « l'humour beauf » pour toucher les aficionados du ballon rond mais qui sombre dans une critique facile de leur sport. Malgré la dimension comique du film, Riton Liebman se montre toutefois, par intermittence, convaincant et parvient à transmettre son vécu. En revanche, le reste du casting, très en retrait, ne marquera pas les esprits.

  7. Le Monde
    par Isabelle Regnier

    Si les situations de comédie romantique sont parfois plaquées, l'humour belge qui imprègne le film le rend très sympathique.

  8. Nouvel Obs
    par Xavier Leherpeur

    Les meilleurs moments de ce premier film sont ceux où, entre parodie et comique psychanalytique, il dessine (et interprète) un antihéros désarmant de détresse auquel donne la réplique la toujours formidable Léa Drucker. Mais sans parvenir sur la longueur à redresser la barre d’un scénario qui va parfois vite en besogne et manque de souplesse dans son jeu de jambes.

  9. StudioCiné Live
    par Emmanuel Cirodde

    S'il reste une excellente idée de traiter la passion de Milou comme une addiction, des maladresses dans le scénario coupent une bonne partie des effets.