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Georg Elser est arrêté après avoir tenté d’assassiner Hitler le 8 novembre 1939. Les séances d’interrogatoires et de torture sont entrecoupées de flash-back dressant le portrait d’un jeune menuisier peu politisé, mais toujours plus concerné par la brutalité du régime nazi. Cette structure, classique et efficace, révèle les événements qui ont déclenché sa révolte au milieu d’un suivisme général. Après un passage aux États-Unis, le réalisateur de "La Chute" revient à un sujet allemand avec ce film fouillé, effrayant et passionnant. Christian Friedel (l’instituteur du "Ruban blanc" de Haneke) est étonnant de complexité.
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Georg Elser est arrêté après avoir tenté d’assassiner Hitler le 8 novembre 1939. Les séances d’interrogatoires et de torture sont entrecoupées de flash-back dressant le portrait d’un jeune menuisier peu politisé, mais toujours plus concerné par la brutalité du régime nazi. Cette structure, classique et efficace, révèle les événements qui ont déclenché sa révolte au milieu d’un suivisme général. Après un passage aux États-Unis, le réalisateur de La Chute revient à un sujet allemand avec ce film fouillé, effrayant et passionnant. Christian Friedel (l’instituteur du Ruban blanc de Haneke) est étonnant de complexité.
Toutes les critiques de Elser, un héros ordinaire
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Un thriller historique formellement classique, mais hyper carré et très prenant.
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L’une des qualités d’ Elser est d’être un film où perce l’humanité à chaque instant, en venant de personnages aussi variés qu’inattendus et de choix de mise en scène judicieux.
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Pas d'effets attendus, pas de scènes de torture, juste la noblesse d'un homme debout face à l'abjection, face à l'inacceptable.
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Un thriller historique formellement classique, mais hyper carré et très prenant.
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L’une des qualités d’ Elser est d’être un film où perce l’humanité à chaque instant, en venant de personnages aussi variés qu’inattendus et de choix de mise en scène judicieux.
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Pas d'effets attendus, pas de scènes de torture, juste la noblesse d'un homme debout face à l'abjection, face à l'inacceptable.
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Le scénario est un peu trop mécanique (...) Ce portrait passionnant est vivifié par Christian Friedel (...) Son interprétation est aussi émouvante qu'éclairante.
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Le temps et le luxe de détails qu’il consacre aux sévices infligés au menuisier par les bourreaux nazis finissent par provoquer autant le malaise que l’indignation.
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La première demi-heure laisse dubitatif quant à la pertinence du film, mais la démonstration du mélange de désarroi et de colère des Nazis face à la détermination et au bon sens d'Elser apporte un intérêt certain à cet épisode méconnu de l'Histoire.
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Le scénario est un peu trop mécanique (...) Ce portrait passionnant est vivifié par Christian Friedel (...) Son interprétation est aussi émouvante qu'éclairante.
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Le temps et le luxe de détails qu’il consacre aux sévices infligés au menuisier par les bourreaux nazis finissent par provoquer autant le malaise que l’indignation.
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La première demi-heure laisse dubitatif quant à la pertinence du film, mais la démonstration du mélange de désarroi et de colère des Nazis face à la détermination et au bon sens d'Elser apporte un intérêt certain à cet épisode méconnu de l'Histoire.
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(...) les interminables flash-back et une mise en scène sans grand relief ne rendent pas hommage au courage de ce héros méconnu.
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Le programme est tellement attendu (vie déroulée et mort prochaine entremêlées), d’un académisme tant formel que psychologique qu’Elser aurait plus légitimement sa place sur la chaîne Histoire qu’en salles, afin d’y mener son didactisme soporifique.
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(...) les interminables flash-back et une mise en scène sans grand relief ne rendent pas hommage au courage de ce héros méconnu.
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Le programme est tellement attendu (vie déroulée et mort prochaine entremêlées), d’un académisme tant formel que psychologique qu’Elser aurait plus légitimement sa place sur la chaîne Histoire qu’en salles, afin d’y mener son didactisme soporifique.