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Trois ans après Copains pour toujours, Adam Sandler et sa bande remettent le couvert pour une nouvelle comédie régressive. Au programme ? Kevin James tirant une grande
fierté d’arriver à roter et à péter dans un même élan, David Spade qui lèche les biceps d’une culturiste, Steve Buscemi déguisé en Flavor Flav, Shaquille O’Neal se soulageant
dans une piscine et, clou du spectacle, Taylor Lautner castré par un cerf... Ajoutez une demi-douzaine de gags à base de vomi et vous obtenez plus qu’un film : un requiem pour le bon goût.
Toutes les critiques de Copains pour toujours 2
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Un film de débiles, fait pour des abrutis par des imbéciles.
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Lorsque Taylor Lautner est l’élément le plus drôle dans un film qui rassemble Adam Sandler et Chris Rock, c’est qu’il y a vraiment un problème.
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Apparemment le monde entier réclamait une nouvelle comédie familiale déjantée à la « Very bad trip », celle-ci est une comédie scatologique avec une sensiblerie mielleuse.
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Beaucoup trop terre à terre et dénué de toute résonance émotionnelle.
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Amitié, famille et amour, parfois c’est tout ce dont on a besoin.
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Personne n’échappera à l’odeur nauséabonde de « copains pour toujours 2 ».
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Les comédiens ont très certainement pris beaucoup de plaisir à tourner ce film mais le public est considéré comme le dindon de la farce.
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On ne peut pas imaginer la sortie, cette année d’une nouvelle comédie aussi abrasive et peu comique. C’est comme si tout ces gens avaient intentionnellement chercher à faire un film horrible.
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Un film qui ressemble à tous les films d’Adam Sandler.
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Il n’est pas certain que la présence de Taylor Lautner suffira à séduire le public français.
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Un film qui manque visiblement d’inspiration.
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Si les motivations pour remettre le couvert de la part de Sandler, Rock et consorts sont claires, celles qui pousseront le spectateur à aller les voir, elles, sont beaucoup plus obscures.
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Un spot de promo antipathique pour Adam Sandler : le degré zéro de la comédie américaine.
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Ce film signé Dennis Dugan joue une fois de plus la carte de la régression bêtifiante. (...) qui se résument peu ou prou à "pipi-caca-prout-vomi". Ça donne envie, non ?