Toutes les critiques de Capitaine Thomas Sankara

Les critiques de Première

  1. Première
    par Damien Leblanc

    Ce portrait du président du Burkina Faso insiste sur sa politique anti-impérialiste et le caractère iconoclaste de ce dirigeant marxiste. Par la vivacité du montage, le film crée avec son sujet une familiarité qui rend sa fin d’autant plus brutale.

Les critiques de la Presse

  1. Télérama
    par Guillemette Odicino

    Passionnant documentaire sur le président du Burkina Faso, assassiné en 1987. Impossible de ne pas tomber en admiration devant ce révolutionnaire anticolonialiste, féministe et écologiste (...)

  2. Le Monde
    par Thomas Sotinel

    Plus qu’une analyse d’un moment historique, on y trouvera les éléments d’un mythe qui reste vivace en Afrique.
     

  3. L'Humanité
    par Stéphane Aubouard

     Une ode à l’action politique et à la joie de vivre.

  4. A voir à lire
    par Nicolas Bonnes

    Un feel good documentaire aussi précieux qu’essentiel. 

  5. Le JDD
    par Alexis Campion

    Un voyage nécessaire et captivant.

  6. Le Figaro
    par Eric Libiot

    Un portrait plutôt empathique, assez peu critique, mais dont l'intérêt, en dehors de l'aspect purement pédagogique, est de mettre en lumière ce que représentait Sankara, tribun hors pair et homme politique proche du peuple.

  7. Libération
    par Maria Malagardis

    (...) le documentaire, constitué de «copier-coller» d’archives évoquant l’ORTF, n’est malheureusement pas toujours à la hauteur de ce personnage mythique, qui reste d’actualité 

  8. Culture box by france Tv
    par Boris Courret

    Mais l'angle choisi de n'utiliser que ces archives, certes étonnantes, a ses limites. Car on en apprend finalement assez peu sur l'homme et sur la réalité des évènements.

  9. Nouvel Obs
    par La rédaction du Nouvel Obs

    Dommage que le film succombe à la tentation de l’hagiographie : les failles personnelles et les échecs politiques de Sankara sont pourtant aussi passionnants que ses hauts faits.

  10. Critikat.com
    par Nicolas Journet

    (...) Christophe Cupelin opère déjà un beau travail de défrichage des angles morts de l’histoire contemporaine qui mériterait d’être appliqué à d’autres leaders africains méconnus