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Si vous chercher un film sur le thème du mariage plutôt chaleureux, optimiste et réconfortant, celui-ci n’est pas pour vous, par contre si vous voulez être surpris et pouvoir le comparer à un Woody Allen, Ingmar Bergman ou Nicole Holofcener, vous ne serez pas déçus.
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C’est la performance de Weigert qui donne du poids et du mystère au film. Elle joue avec son identité, nous rapproche d’elle, la manière dont elle ne révèle absolument rien est paralysante.
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Un drame solide centré sur un personnage principal insensible.
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Le regard sur la sexualité à travers Passon n’est pas si fluide mais plutôt ouvert, sa vision est assez rafraîchissante.
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Il est difficile de ne pas penser à « Last Tango in Paris », « The stepford wives », « belle de jour » et « Jeanne Dielmann » lorsqu’on assiste à la Renaissance d’Abby.
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La question majeure du film est : pourquoi le personnage choisit ce chemin ? On n’aura malheureusement jamais la réponse.
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Une série de scénettes peu convaincantes qui donne une atmosphère étrange.
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Passon contourne indéniablement toutes les interrogations et allusions laissées entendre pendant tout le film.
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La fin est décevante et se défile quelque peu mais ce film est beaucoup plus élégant et nuancé que la plupart des films sorti récemment.
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“Concussion” laisse croire qu’il est émoustillant alors que c’est tout l’inverse.