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Difficile de ne pas rigoler devant certaines répliques lancées avec l’air le plus grave : « détruire pour reconstruire », « ce n’est pas les lois qui sont mauvaises mais ceux qui les appliquent. » Alors que le premier opus jouait modestement la carte du remake de New York 1997 de John Carpenter, le second veut politiser l’action. Dommage, à vouloir être trop sérieux, le film perd de son intérêt récréatif. Le but la série était pourtant simple : l’action sans complexe et des gars qui sautent partout !
Toutes les critiques de Banlieue 13 : ultimatum
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Débarrassé des velléités prophétiques qui plombaient le premier épisode sorti il y a 5 ans, ce second opus assume son côté BD et permet au réalisateur Patrick Alessandrin, formé dans le sillage de Besson de sortir du domaine de la comédie pour se frayer un chemin dans l'action.