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Épuré sans être austère, intelligent, poignant, il est d’une richesse inouïe que chaque nouvelle vision revitalise. Un chef-d’œuvre, tout simplement.
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Figure passive subissant l’acharnement humain, figure active qui produit un retournement, l’âne constitue le modèle et l’intermédiaire d’un être au monde sensible et d’une prise de conscience, ce dont la subtilité, la paradoxale sensualité, et l’efficacité de la mise en scène, du cadrage et du montage bressonnien nous fait sentir autant qu’appréhender.