Les fans ont eu bien du mal à y voir clair. Beaucoup ont fait part de leur frustration sur les réseaux. Mais la chaîne américaine et la production assument.
Sur certains plans, il fallait carrément deviner les formes à l'écran ! C'est certainement le premier loupé de House of the Dragon. L'épisode 7, diffusé cette semaine, se passe en partie de nuit, du côté de Lamarck, la Maison des Valeryon. Et si vous avez eu du mal à voir ce qui passait, vous n'êtes pas les seuls. Beaucoup de fans ont fait part de leur frustration, devant cet épisode totalement sous-éclairé, laissant quelques intrigues dans l'obscurité la plus totale.
Alors la production avait-elle décidé de faire des économies d'énergie ? Non, selon HBO, cette lumière très tamisée était un choix artistique du réalisateur, une "décision créative intentionnelle" !
Thanks for getting back to us Antonio! We appreciate you reaching out about a night scene in House of the Dragon: Episode 7 appearing dark on your screen. The dimmed lighting of this scene was an intentional creative decision. Thanks! ^AH
— HBOMaxHelp (@HBOMaxHelp) October 4, 2022
Répondant à des plaintes de fans sur les réseaux, le compte HBO Max Help stipule clairement : "Dans cette scène nocturne dans l'épisode 7 de House of the Dragon, qui apparaît sombre sur votre écran, l'éclairage tamisé était en fait une décision créative intentionnelle". HBO précise d'ailleurs que moins de 1% des messages générés par l'épisode 7 concernaient des problèmes d'éclairage.
En tout cas, cette petite polémique n'est pas sans rappeler le loupé de la saison finale de Game of Thrones, au moment de l'ultime bataille contre les White Walkers. "The Long Night" contenait nombre de séquences à l'opacité certaine. Et le réalisateur, Miguel Sapochnik avait totalement assumé à l'époque, parlant d'une atmosphère nécessaire : "Il était logique que ce soit comme ça pour le dernier espoir de l'humanité, le dernier phare dans la nuit..."
Il n'était pas vraiment question de fin du monde dans cet épisode 7 de House of the Dragon, et pourtant...
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