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Solaris Distribution / Paramount Pictures

La star d’American Gigolo et Pretty Woman ne supportait pas cette étiquette.

Dans un entretien accordé au Daily Mail, l’animateur de télévision Michael Aspen revient sur sa rencontre avec Richard Gere, invité à son émission Aspen and Company en 1989. Neuf ans plus tôt, l'acteur était à l'affiche d'American Gigolo de Paul Schrader, le film qui l’a amené sur le devant de la scène. 

L’animateur raconte : “Quand Richard est arrivé sur le plateau, je l’ai présenté et à la fin j’ai dit : ‘Il a fait ci, il a fait ça’, et j’ai utilisé l’expression 'sex symbol'. Après l’interview, on a reçu un coup de fil de son agent nous disant que si on ne retirait pas cette expression de l’émission, ils allaient s’en occuper avec leur avocat.

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Paramount Pictures

Malgré ses rôles de tombeurs, Richard Gere semblait être prêt à tout pour ne pas être catalogué dans les médias : 'Il ne voulait pas être connu comme sex symbol. C’était très étrange. Il se prenait très au sérieux parce qu’il avait fait beaucoup pour le peuple tibétain", explique Michael Aspen

Aspen fait référence à l’implication de Gere dans un projet humanitaire : la création en 1987 de la Tibet House à New York, co-fondé, entre autres, par le professeur Robert Thurman et le compositeur Philip Glass. Ce projet s’est mis en marche à la demande du 14e Dalaï-Lama, et a pour but de promouvoir, défendre, conserver et restaurer tout ce qui concerne le patrimoine culturel matériel et immatériel tibétain. 

Richard Gere is back dans la bande-annonce de la rom'com' Maybe I Do