Fille de, égérie Chanel, Lolita 2.0, à 16 ans Lily-Rose Depp sait déjà jouer de son image. Aujourd'hui c'est sur grand écran qu'elle se montre et en parle dans les colonnes de Vanity Fair.
"S'il vous plaît, je préfère ne pas trop parler de ma mère ni de mon père. Chacun sa vie", annonce-t-elle effrontée dans les premières lignes de sa première interview à la presse française.
Indépendante à seulement 16 ans, Lily-Rose Depp veut avant tout parler d'elle et non de sa lignée, de ses projets au cinéma et de sa célébrité.
Si elle remercie ses parents d'avoir su "préserver (son) enfance", aujourd'hui la jeune fille est prête à se dévoiler.
Après avoir découvert le métier d'actrice dans Tusk ("C'est là que j'ai vraiment pris goût au cinéma. J'ai adoré rentrer dans la peau d'un personnage, je m'amusais. Ça vibrait à l'intérieur de moi") et Yoga Hosers, aujourd'hui la neo actrice s'affiche au casting de Planetarium au côté de Natalie Portman puis donnera la réplique à Gaspard Ulliel et Mélanie Thierry dans La Danseuse (présenté au Festival de Cannes 2016) : "Pour moi, c’est simple : j’aime jouer, ça me libère. Je veux en faire mon métier", avance-t-elle, determinée et soutenue par ses stars de parents : "Ils étaient mal placés pour me dire 'Passe ton bac d'abord'", s'amuse l'adolescente.
Suivie par plus d'1,5 million de followers ("Parfois j'essaie d'imaginer tous ces gens dans une même pièce. J'ai un peu de mal") sur Instagram, la jeune starlette vit sa célébrité avec détachement et décide de "se foutre" des mauvais côtés : "Je me demande qui cela peut intéresser, les mêmes photos de moi avec les mêmes vêtements, les mêmes postures. C’est n’importe quoi. Mais c’est ainsi, les paparazzis nous suivent partout, depuis toujours, à Los Angeles comme à Paris. J’ai décidé de m’en foutre. Je ne vais pas rester enfermée dans une cage. Il est hors de question qu’ils me pourrissent la vie", observe-t-elle.
Lily-Rose Depp aura 17 ans le 27 mai prochain et est déjà prête à vivre sous les projecteurs.
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le numéro 35 (mai 2016) de Vanity Fair France.
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