Mannequin, chanteuse, animatrice télé, actrice, réalisatrice… Helena Noguerra a la chance d’avoir plusieurs cordes à son arc et de savoir s’en servir avec talent. Elle se défend de ne pas jouer la carte du fantasme dans son quotidien, malgré sa plastique de rêve, mais ne cache pas croquer la vie à pleines dents. En novembre dernier déjà, l’auteure du court-métrage Peep Show Heros (extrait de la collection X femmes de Canal+) confiait à Paris-Match : "Je suis une féministe d’aujourd’hui, qui adore les hommes et le sexe."Cette fois elle va plus loin dans les confessions pour Gala, en comparant sa vie aux antipodes de celle de madame Gratin, son personnage coincé dans Les vacances de Ducobu, la suite de la comédie sortie l’été dernier avec Elie Semoun, L’élève Ducobu, en salles depuis aujourd’hui. "Je me sens toujours comme une adolescente, même si j’ai vieilli", confie la jolie brune de 41 ans. "J’aime bien cette vie d’adolescente attardée. (…) Je suis beaucoup plus bordélique et libre que [madame Gratin] !".Quand son fils de 21 ans, Tanel, était plus jeune, "c’était très libre", se rappelle l’actrice. Les vacances ressemblaient plutôt à de "grandes maisons avec du monde – des copains ou la famille, ma sœur Lio et ses enfants, ma mère -" plutôt qu’à du camping en solo avec un enfant, comme dans le film. "J’ai eu mon fils à 21 ans, il y avait quelque chose qui s’apparentait à la relation frère sœur", avoue même la chanteuse qui a participé à la tournée Nouvelle Vague en 2010.Mariée huit ans au chanteur Philippe Katerine, Helena Noguerra confie apprécier chez un homme l’humour et le respect, "laisser l’autre respirer", précise-t-elle. Quand une histoire d’amour se termine, elle est toujours "la fille qui s’en va". "Comme dirait Piaf dans une chanson : ‘A chaque fois j’y crois et j’y croirai toujours, ça sert à ça l’amour’." Sans aller plus loin dans les révélations, elle dit aussi avoir ri grâce à un homme le matin de l’interview. Ce qui est bon signe même si cela étonne peu de savoir que la jolie plante du clip Tes yeux noirs d’Indochine plaît toujours autant. "Je suis contente que les gens puissent me trouver jolie, agréable, et parfois je pleure à l’idée que tout va s’évaporer avec le temps".Elle se souvient aussi avoir "commencé à draguer très tôt" : "J’ai toujours eu un faible pour l’amour. Et ça continue." Quelle coquine cette Helena ! Pas étonnant qu’elle ait répondu oui à l’invitation d’Artus de Penguern pour incarner l’infirmière sexy et obnubilée par la chirurgie esthétique dans La Clinique de l'amour… Un rôle qui lui était prédestiné, à découvrir prochainement sur grand écran !
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