PHOTOS - Drive : un film de bagnole qui n’oublie pas les filles
Le second est nocturne, son acteur n'est pas reconnaissable
Deuxième affiche, on change (un peu) d?ambiance, avec le héros de dos (impossible de reconnaître Gosling ici, même si une partie de son visage se reflète dans une vitre, floue), des néons, une veste "animale" dotée d'un scorpion et la nuit, omniprésente sur les premiers posters. ?
De Nicolas Winding Refn
<strong>Petit tour d?horizon des affiches de Drive, qui passent d?une ambiance très masculine à une série de posters plus girly.</strong> <strong>Nicolas Winding Refn</strong> est célèbre pour ses films musclés. De Pusher à Valhalla Rising en passant par Bronson, le cinéaste s?intéresse à des sujets violents et ne cache pas les scènes sanglantes à son public. Au contraire, sa mise en scène choc est sa marque de fabrique !<strong><em> Drive </em>dénote dans sa filmographie par son côté romantique</strong>, puisque son héros, un chauffeur bossant la nuit pour la mafia (incarné par <strong>Ryan Gosling</strong>) y tombe amoureux de sa jolie voisine (<strong>Carey Mulligan</strong>). Est-ce pour cette raison que ses affiches sont aussi différentes ? On remarque que la première plongeait les spectateurs dans le cambouis, en ne montrant qu?un moteur de voiture, le titre et la mention des noms de l?acteur, du réalisateur et <em>"du producteur de Wanted"</em>. A ce stade, on ne peut que s?attendre à un film d?action, non ? Deuxième affiche, on change (un peu) d?ambiance, avec le héros de dos (impossible de reconnaître Gosling ici, même si une partie de son visage se reflète dans une vitre, floue), des néons, une veste "animale" dotée d'un scorpion et la nuit, omniprésente sur les premiers posters. Nouvelle étape, le personnage est en gros plan, de face, au volant. C?est cette affiche qui est choisie par le Québec pour promouvoir le film, rebaptisé pour l?occasion <em>Sang-froid</em>. Logique, tant l?image évoque cette idée, Ryan semblant extrêmement concentré. Même sensation face à l?affiche officielle française, où l?acteur tourne la tête vers la droite, la main sur le volant. On remarque que la typographie et la couleur du titre est parfois rose, premier signe de décalage avec l?ambiance globale évoquant le danger, la nuit et la vitesse. Arrive enfin la rupture, avec les affiches personnalisées. Plus de couleurs bleutées et sombres, place à la lumière ! <strong>Carey Mulligan</strong>, <strong>Bryan Cranston</strong>, <strong>Christina Hendricks</strong>, <strong>Albert Brooks</strong>, <strong>Oscar Isaac</strong> et <strong>Ron Perlman</strong> ont leur poster à eux, accompagné du titre en rose fluo. Un côté ?girly? pour éveiller la curiosité des filles ? Sûrement. Mais pas seulement : en fait, cette couleur est utilisée durant le générique du début du film. Pas de triche de la part des créateurs d?affiches, donc. S?ils visent sans doute plutôt le public féminin avec ces affiches, ils ne dupent pas non plus le public en respectant en fait l?un des aspects du long-métrage. Car oui, Drive, c?est AUSSI un film romantique. On remarque que même les acteurs à ?gueules?, <strong>Ron Perlman</strong> en tête, sont embellis sur ces images. Les deux actrices y sont à la fois naturelles et jolies. Quant à Ryan, on pourrait carrément le confondre avec <strong>Daniel Craig</strong> ! Enfin, Film District a délivré des bannières, et là encore, l?imagerie change. Normalement, les bannières sont utilisées pour mettre en avant des acteurs reconnaissables. Elles fleurissent ainsi pour les blockbusters, puisqu?elles offrent une diversité de visuels à poser un peu partout (métro, bus etc.). Pourtant, ici, elles sont plus esthétiques qu?informatives. En les regardant, on n?apprend rien sur le film, mais elles sont pourtant réussies d?un point de vue graphique, multipliant les effets de lumière et les coupes improbables. Est-ce une manière de faire oublier la promotion parfois malheureuse du film ? On se souvient qu?une longue bande-annonce dévoilée au moment du festival de Cannes avait révélé une bonne partie des instants clés du film, énervant passablement quelques cinéphiles qui ne voulaient pas être autant spoilés. Les différentes séries d?affiches de <em>Drive </em>se suivent sans se ressembler, donc, mais offrent tout de même la particularité d?évoquer différents aspects du film. Même si en les observant à la suite, on peut penser qu?elles font la promotion de deux projets différents, tant elles évoluent au fur et à mesure de la promotion. Y en a-t-il une en particulier qui vous semble plus réussie que les autres ? <em>Drive</em> sortira mercredi au cinéma. Elodie Bardinet ?
C'est l'affiche choisie par le distributeur français
Nouvelle étape, le personnage est en gros plan, de face, au volant. C?est cette affiche qui est choisie par le Québec pour promouvoir le film, rebaptisé pour l?occasion <em>Sang-froid</em>. Logique, tant l?image évoque cette idée, Ryan semblant extrêmement concentré. Même sensation face à l?affiche officielle française, où l?acteur tourne la tête vers la droite, la main sur le volant. On remarque que la typographie et la couleur du titre est parfois rose, premier signe de décalage avec l?ambiance globale évoquant le danger, la nuit et la vitesse.?
Drive
<strong>Petit tour d?horizon des affiches de Drive, qui passent d?une ambiance très masculine à une série de posters plus girly.</strong> <strong>Nicolas Winding Refn</strong> est célèbre pour ses films musclés. De Pusher à Valhalla Rising en passant par Bronson, le cinéaste s?intéresse à des sujets violents et ne cache pas les scènes sanglantes à son public. Au contraire, sa mise en scène choc est sa marque de fabrique !<strong><em> Drive </em>dénote dans sa filmographie par son côté romantique</strong>, puisque son héros, un chauffeur bossant la nuit pour la mafia (incarné par <strong>Ryan Gosling</strong>) y tombe amoureux de sa jolie voisine (<strong>Carey Mulligan</strong>). Est-ce pour cette raison que ses affiches sont aussi différentes ? On remarque que la première plongeait les spectateurs dans le cambouis, en ne montrant qu?un moteur de voiture, le titre et la mention des noms de l?acteur, du réalisateur et <em>"du producteur de Wanted"</em>. A ce stade, on ne peut que s?attendre à un film d?action, non ? Deuxième affiche, on change (un peu) d?ambiance, avec le héros de dos (impossible de reconnaître Gosling ici, même si une partie de son visage se reflète dans une vitre, floue), des néons, une veste "animale" dotée d'un scorpion et la nuit, omniprésente sur les premiers posters. Nouvelle étape, le personnage est en gros plan, de face, au volant. C?est cette affiche qui est choisie par le Québec pour promouvoir le film, rebaptisé pour l?occasion <em>Sang-froid</em>. Logique, tant l?image évoque cette idée, Ryan semblant extrêmement concentré. Même sensation face à l?affiche officielle française, où l?acteur tourne la tête vers la droite, la main sur le volant. On remarque que la typographie et la couleur du titre est parfois rose, premier signe de décalage avec l?ambiance globale évoquant le danger, la nuit et la vitesse. Arrive enfin la rupture, avec les affiches personnalisées. Plus de couleurs bleutées et sombres, place à la lumière ! <strong>Carey Mulligan</strong>, <strong>Bryan Cranston</strong>, <strong>Christina Hendricks</strong>, <strong>Albert Brooks</strong>, <strong>Oscar Isaac</strong> et <strong>Ron Perlman</strong> ont leur poster à eux, accompagné du titre en rose fluo. Un côté ?girly? pour éveiller la curiosité des filles ? Sûrement. Mais pas seulement : en fait, cette couleur est utilisée durant le générique du début du film. Pas de triche de la part des créateurs d?affiches, donc. S?ils visent sans doute plutôt le public féminin avec ces affiches, ils ne dupent pas non plus le public en respectant en fait l?un des aspects du long-métrage. Car oui, Drive, c?est AUSSI un film romantique. On remarque que même les acteurs à ?gueules?, <strong>Ron Perlman</strong> en tête, sont embellis sur ces images. Les deux actrices y sont à la fois naturelles et jolies. Quant à Ryan, on pourrait carrément le confondre avec <strong>Daniel Craig</strong> ! Enfin, Film District a délivré des bannières, et là encore, l?imagerie change. Normalement, les bannières sont utilisées pour mettre en avant des acteurs reconnaissables. Elles fleurissent ainsi pour les blockbusters, puisqu?elles offrent une diversité de visuels à poser un peu partout (métro, bus etc.). Pourtant, ici, elles sont plus esthétiques qu?informatives. En les regardant, on n?apprend rien sur le film, mais elles sont pourtant réussies d?un point de vue graphique, multipliant les effets de lumière et les coupes improbables. Est-ce une manière de faire oublier la promotion parfois malheureuse du film ? On se souvient qu?une longue bande-annonce dévoilée au moment du festival de Cannes avait révélé une bonne partie des instants clés du film, énervant passablement quelques cinéphiles qui ne voulaient pas être autant spoilés. Les différentes séries d?affiches de <em>Drive </em>se suivent sans se ressembler, donc, mais offrent tout de même la particularité d?évoquer différents aspects du film. Même si en les observant à la suite, on peut penser qu?elles font la promotion de deux projets différents, tant elles évoluent au fur et à mesure de la promotion. Y en a-t-il une en particulier qui vous semble plus réussie que les autres ? <em>Drive</em> sortira mercredi au cinéma. Elodie Bardinet ?
Puis viennent les 'character posters'
Arrive enfin la rupture, avec les affiches personnalisées. Plus de couleurs bleutées et sombres, place à la lumière ! <strong>Carey Mulligan</strong>, <strong>Bryan Cranston</strong>, <strong>Christina Hendricks</strong>, <strong>Albert Brooks</strong>, <strong>Oscar Isaac</strong> et <strong>Ron Perlman</strong> ont leur poster à eux, accompagné du titre en rose fluo. Un côté ?girly? pour éveiller la curiosité des filles ? Sûrement. Mais pas seulement : en fait, cette couleur est utilisée durant le générique du début du film. Pas de triche de la part des créateurs d?affiches, donc. S?ils visent sans doute plutôt le public féminin avec ces affiches, ils ne dupent pas non plus le public en respectant en fait l?un des aspects du long-métrage. Car oui, Drive, c?est AUSSI un film romantique.On remarque que même les acteurs à ?gueules?, <strong>Ron Perlman</strong> en tête, sont embellis sur ces images. Les deux actrices y sont à la fois naturelles et jolies. Quant à Ryan, on pourrait carrément le confondre avec <strong>Daniel Craig</strong> ! ?
Mais le calme
Arrive enfin la rupture, avec les affiches personnalisées. Plus de couleurs bleutées et sombres, place à la lumière ! <strong>Carey Mulligan</strong>, <strong>Bryan Cranston</strong>, <strong>Christina Hendricks</strong>, <strong>Albert Brooks</strong>, <strong>Oscar Isaac</strong> et <strong>Ron Perlman</strong> ont leur poster à eux, accompagné du titre en rose fluo. Un côté ?girly? pour éveiller la curiosité des filles ? Sûrement. Mais pas seulement : en fait, cette couleur est utilisée durant le générique du début du film. Pas de triche de la part des créateurs d?affiches, donc. S?ils visent sans doute plutôt le public féminin avec ces affiches, ils ne dupent pas non plus le public en respectant en fait l?un des aspects du long-métrage. Car oui, Drive, c?est AUSSI un film romantique. On remarque que même les acteurs à ?gueules?, <strong>Ron Perlman</strong> en tête, sont embellis sur ces images. Les deux actrices y sont à la fois naturelles et jolies. Quant à Ryan, on pourrait carrément le confondre avec <strong>Daniel Craig</strong> ! ?
Le premier ? C'est "Moteur, action !"
On remarque que la première affiche plongeait les spectateurs dans le cambouis, en ne montrant qu?un moteur de voiture, le titre et la mention des noms de l?acteur, du réalisateur et <em>"du producteur de Wanted"</em>. A ce stade, on ne peut que s?attendre à un film d?action, non ?
Même si quelques unes pourraient évoquer le danger
Arrive enfin la rupture, avec les affiches personnalisées. Plus de couleurs bleutées et sombres, place à la lumière ! <strong>Carey Mulligan</strong>, <strong>Bryan Cranston</strong>, <strong>Christina Hendricks</strong>, <strong>Albert Brooks</strong>, <strong>Oscar Isaac</strong> et <strong>Ron Perlman</strong> ont leur poster à eux, accompagné du titre en rose fluo. Un côté ?girly? pour éveiller la curiosité des filles ? Sûrement. Mais pas seulement : en fait, cette couleur est utilisée durant le générique du début du film. Pas de triche de la part des créateurs d?affiches, donc. S?ils visent sans doute plutôt le public féminin avec ces affiches, ils ne dupent pas non plus le public en respectant en fait l?un des aspects du long-métrage. Car oui, Drive, c?est AUSSI un film romantique. On remarque que même les acteurs à ?gueules?, <strong>Ron Perlman</strong> en tête, sont embellis sur ces images. Les deux actrices y sont à la fois naturelles et jolies. Quant à Ryan, on pourrait carrément le confondre avec <strong>Daniel Craig</strong> ! ?
En fait, certains pays n'hésitent pas à promouvoir le film comme une romance
Sur cette affiche russe, on pourrait croire que le conducteur hésite entre ces deux femmes et qu'il s'agit d'un film avant tout romantique.
S'offre des posters très différents
<strong>Petit tour d?horizon des affiches de Drive, qui passent d?une ambiance très masculine à une série de posters plus girly.</strong> <strong>Nicolas Winding Refn</strong> est célèbre pour ses films musclés. De Pusher à Valhalla Rising en passant par Bronson, le cinéaste s?intéresse à des sujets violents et ne cache pas les scènes sanglantes à son public. Au contraire, sa mise en scène choc est sa marque de fabrique !<strong><em> Drive </em>dénote dans sa filmographie par son côté romantique</strong>, puisque son héros, un chauffeur bossant la nuit pour la mafia (incarné par <strong>Ryan Gosling</strong>) y tombe amoureux de sa jolie voisine (<strong>Carey Mulligan</strong>). Est-ce pour cette raison que ses affiches sont aussi différentes ? On remarque que la première plongeait les spectateurs dans le cambouis, en ne montrant qu?un moteur de voiture, le titre et la mention des noms de l?acteur, du réalisateur et <em>"du producteur de Wanted"</em>. A ce stade, on ne peut que s?attendre à un film d?action, non ? Deuxième affiche, on change (un peu) d?ambiance, avec le héros de dos (impossible de reconnaître Gosling ici, même si une partie de son visage se reflète dans une vitre, floue), des néons, une veste "animale" dotée d'un scorpion et la nuit, omniprésente sur les premiers posters. Nouvelle étape, le personnage est en gros plan, de face, au volant. C?est cette affiche qui est choisie par le Québec pour promouvoir le film, rebaptisé pour l?occasion <em>Sang-froid</em>. Logique, tant l?image évoque cette idée, Ryan semblant extrêmement concentré. Même sensation face à l?affiche officielle française, où l?acteur tourne la tête vers la droite, la main sur le volant. On remarque que la typographie et la couleur du titre est parfois rose, premier signe de décalage avec l?ambiance globale évoquant le danger, la nuit et la vitesse. Arrive enfin la rupture, avec les affiches personnalisées. Plus de couleurs bleutées et sombres, place à la lumière ! <strong>Carey Mulligan</strong>, <strong>Bryan Cranston</strong>, <strong>Christina Hendricks</strong>, <strong>Albert Brooks</strong>, <strong>Oscar Isaac</strong> et <strong>Ron Perlman</strong> ont leur poster à eux, accompagné du titre en rose fluo. Un côté ?girly? pour éveiller la curiosité des filles ? Sûrement. Mais pas seulement : en fait, cette couleur est utilisée durant le générique du début du film. Pas de triche de la part des créateurs d?affiches, donc. S?ils visent sans doute plutôt le public féminin avec ces affiches, ils ne dupent pas non plus le public en respectant en fait l?un des aspects du long-métrage. Car oui, Drive, c?est AUSSI un film romantique. On remarque que même les acteurs à ?gueules?, <strong>Ron Perlman</strong> en tête, sont embellis sur ces images. Les deux actrices y sont à la fois naturelles et jolies. Quant à Ryan, on pourrait carrément le confondre avec <strong>Daniel Craig</strong> ! Enfin, Film District a délivré des bannières, et là encore, l?imagerie change. Normalement, les bannières sont utilisées pour mettre en avant des acteurs reconnaissables. Elles fleurissent ainsi pour les blockbusters, puisqu?elles offrent une diversité de visuels à poser un peu partout (métro, bus etc.). Pourtant, ici, elles sont plus esthétiques qu?informatives. En les regardant, on n?apprend rien sur le film, mais elles sont pourtant réussies d?un point de vue graphique, multipliant les effets de lumière et les coupes improbables. Est-ce une manière de faire oublier la promotion parfois malheureuse du film ? On se souvient qu?une longue bande-annonce dévoilée au moment du festival de Cannes avait révélé une bonne partie des instants clés du film, énervant passablement quelques cinéphiles qui ne voulaient pas être autant spoilés. Les différentes séries d?affiches de <em>Drive </em>se suivent sans se ressembler, donc, mais offrent tout de même la particularité d?évoquer différents aspects du film. Même si en les observant à la suite, on peut penser qu?elles font la promotion de deux projets différents, tant elles évoluent au fur et à mesure de la promotion. Y en a-t-il une en particulier qui vous semble plus réussie que les autres ? <em>Drive</em> sortira mercredi au cinéma. Elodie Bardinet ?
Puis, on le reconnaît enfin au volant
Nouvelle étape, le personnage est en gros plan, de face, au volant. C?est cette affiche qui est choisie par le Québec pour promouvoir le film, rebaptisé pour l?occasion <em>Sang-froid</em>. Logique, tant l?image évoque cette idée, Ryan semblant extrêmement concentré. Même sensation face à l?affiche officielle française, où l?acteur tourne la tête vers la droite, la main sur le volant. On remarque que la typographie et la couleur du titre est parfois rose, premier signe de décalage avec l?ambiance globale évoquant le danger, la nuit et la vitesse.
En tout cas, ces affiches n'évoquent plus la violence
Arrive enfin la rupture, avec les affiches personnalisées. Plus de couleurs bleutées et sombres, place à la lumière ! <strong>Carey Mulligan</strong>, <strong>Bryan Cranston</strong>, <strong>Christina Hendricks</strong>, <strong>Albert Brooks</strong>, <strong>Oscar Isaac</strong> et <strong>Ron Perlman</strong> ont leur poster à eux, accompagné du titre en rose fluo. Un côté ?girly? pour éveiller la curiosité des filles ? Sûrement. Mais pas seulement : en fait, cette couleur est utilisée durant le générique du début du film. Pas de triche de la part des créateurs d?affiches, donc. S?ils visent sans doute plutôt le public féminin avec ces affiches, ils ne dupent pas non plus le public en respectant en fait l?un des aspects du long-métrage. Car oui, Drive, c?est AUSSI un film romantique. On remarque que même les acteurs à ?gueules?, <strong>Ron Perlman</strong> en tête, sont embellis sur ces images. Les deux actrices y sont à la fois naturelles et jolies. Quant à Ryan, on pourrait carrément le confondre avec <strong>Daniel Craig</strong> ! ?
Mais au moins, elles ne spoilent pas non plus son contenu
Enfin, Film District a délivré des bannières, et là encore, l?imagerie change. Normalement, les bannières sont utilisées pour mettre en avant des acteurs reconnaissables. Elles fleurissent ainsi pour les blockbusters, puisqu?elles offrent une diversité de visuels à poser un peu partout (métro, bus etc.). Pourtant, ici, elles sont plus esthétiques qu?informatives. En les regardant, on n?apprend rien sur le film, mais elles sont pourtant réussies d?un point de vue graphique, multipliant les effets de lumière et les coupes improbables. Est-ce une manière de faire oublier la promotion parfois malheureuse du film ? On se souvient qu?une longue bande-annonce dévoilée au moment du festival de Cannes avait révélé une bonne partie des instants clés du film, énervant passablement quelques cinéphiles qui ne voulaient pas être autant spoilés.?
Viennent ensuite les bannières
Enfin, Film District a délivré des bannières, et là encore, l?imagerie change. Normalement, les bannières sont utilisées pour mettre en avant des acteurs reconnaissables. Elles fleurissent ainsi pour les blockbusters, puisqu?elles offrent une diversité de visuels à poser un peu partout (métro, bus etc.). Pourtant, ici, elles sont plus esthétiques qu?informatives. En les regardant, on n?apprend rien sur le film, mais elles sont pourtant réussies d?un point de vue graphique, multipliant les effets de lumière et les coupes improbables. Est-ce une manière de faire oublier la promotion parfois malheureuse du film ? On se souvient qu?une longue bande-annonce dévoilée au moment du festival de Cannes avait révélé une bonne partie des instants clés du film, énervant passablement quelques cinéphiles qui ne voulaient pas être autant spoilés.?
Qui n'hésitent pas à mettre les personnages en faux jour
Vous irez voir Drive, mercredi ?
Enfin, Film District a délivré des bannières, et là encore, l?imagerie change. Normalement, les bannières sont utilisées pour mettre en avant des acteurs reconnaissables. Elles fleurissent ainsi pour les blockbusters, puisqu?elles offrent une diversité de visuels à poser un peu partout (métro, bus etc.). Pourtant, ici, elles sont plus esthétiques qu?informatives. En les regardant, on n?apprend rien sur le film, mais elles sont pourtant réussies d?un point de vue graphique, multipliant les effets de lumière et les coupes improbables. Est-ce une manière de faire oublier la promotion parfois malheureuse du film ? On se souvient qu?une longue bande-annonce dévoilée au moment du festival de Cannes avait révélé une bonne partie des instants clés du film, énervant passablement quelques cinéphiles qui ne voulaient pas être autant spoilés.?
Ou surveille ses arrières
Arrive enfin la rupture, avec les affiches personnalisées. Plus de couleurs bleutées et sombres, place à la lumière ! <strong>Carey Mulligan</strong>, <strong>Bryan Cranston</strong>, <strong>Christina Hendricks</strong>, <strong>Albert Brooks</strong>, <strong>Oscar Isaac</strong> et <strong>Ron Perlman</strong> ont leur poster à eux, accompagné du titre en rose fluo. Un côté ?girly? pour éveiller la curiosité des filles ? Sûrement. Mais pas seulement : en fait, cette couleur est utilisée durant le générique du début du film. Pas de triche de la part des créateurs d?affiches, donc. S?ils visent sans doute plutôt le public féminin avec ces affiches, ils ne dupent pas non plus le public en respectant en fait l?un des aspects du long-métrage. Car oui, Drive, c?est AUSSI un film romantique. On remarque que même les acteurs à ?gueules?, <strong>Ron Perlman</strong> en tête, sont embellis sur ces images. Les deux actrices y sont à la fois naturelles et jolies. Quant à Ryan, on pourrait carrément le confondre avec <strong>Daniel Craig</strong> ! ?
Difficile de les reconnaître !
Enfin, Film District a délivré des bannières, et là encore, l?imagerie change. Normalement, les bannières sont utilisées pour mettre en avant des acteurs reconnaissables. Elles fleurissent ainsi pour les blockbusters, puisqu?elles offrent une diversité de visuels à poser un peu partout (métro, bus etc.). Pourtant, ici, elles sont plus esthétiques qu?informatives. En les regardant, on n?apprend rien sur le film, mais elles sont pourtant réussies d?un point de vue graphique, multipliant les effets de lumière et les coupes improbables. Est-ce une manière de faire oublier la promotion parfois malheureuse du film ? On se souvient qu?une longue bande-annonce dévoilée au moment du festival de Cannes avait révélé une bonne partie des instants clés du film, énervant passablement quelques cinéphiles qui ne voulaient pas être autant spoilés.?
Voire à les découper !
Enfin, Film District a délivré des bannières, et là encore, l?imagerie change. Normalement, les bannières sont utilisées pour mettre en avant des acteurs reconnaissables. Elles fleurissent ainsi pour les blockbusters, puisqu?elles offrent une diversité de visuels à poser un peu partout (métro, bus etc.). Pourtant, ici, elles sont plus esthétiques qu?informatives. En les regardant, on n?apprend rien sur le film, mais elles sont pourtant réussies d?un point de vue graphique, multipliant les effets de lumière et les coupes improbables. Est-ce une manière de faire oublier la promotion parfois malheureuse du film ? On se souvient qu?une longue bande-annonce dévoilée au moment du festival de Cannes avait révélé une bonne partie des instants clés du film, énervant passablement quelques cinéphiles qui ne voulaient pas être autant spoilés.?
Une nouvelle fois, les bannières ne ressemblent pas aux précédentes affiches
Enfin, Film District a délivré des bannières, et là encore, l?imagerie change. Normalement, les bannières sont utilisées pour mettre en avant des acteurs reconnaissables. Elles fleurissent ainsi pour les blockbusters, puisqu?elles offrent une diversité de visuels à poser un peu partout (métro, bus etc.). Pourtant, ici, elles sont plus esthétiques qu?informatives. En les regardant, on n?apprend rien sur le film, mais elles sont pourtant réussies d?un point de vue graphique, multipliant les effets de lumière et les coupes improbables. Est-ce une manière de faire oublier la promotion parfois malheureuse du film ? On se souvient qu?une longue bande-annonce dévoilée au moment du festival de Cannes avait révélé une bonne partie des instants clés du film, énervant passablement quelques cinéphiles qui ne voulaient pas être autant spoilés.?
Censés attirer les filles ?
Arrive enfin la rupture, avec les affiches personnalisées. Plus de couleurs bleutées et sombres, place à la lumière ! <strong>Carey Mulligan</strong>, <strong>Bryan Cranston</strong>, <strong>Christina Hendricks</strong>, <strong>Albert Brooks</strong>, <strong>Oscar Isaac</strong> et <strong>Ron Perlman</strong> ont leur poster à eux, accompagné du titre en rose fluo. Un côté ?girly? pour éveiller la curiosité des filles ? Sûrement. Mais pas seulement : en fait, cette couleur est utilisée durant le générique du début du film. Pas de triche de la part des créateurs d?affiches, donc. S?ils visent sans doute plutôt le public féminin avec ces affiches, ils ne dupent pas non plus le public en respectant en fait l?un des aspects du long-métrage. Car oui, Drive, c?est AUSSI un film romantique. On remarque que même les acteurs à ?gueules?, <strong>Ron Perlman</strong> en tête, sont embellis sur ces images. Les deux actrices y sont à la fois naturelles et jolies. Quant à Ryan, on pourrait carrément le confondre avec <strong>Daniel Craig</strong> ! ?
Quand l'acteur est renfrogné
Arrive enfin la rupture, avec les affiches personnalisées. Plus de couleurs bleutées et sombres, place à la lumière ! <strong>Carey Mulligan</strong>, <strong>Bryan Cranston</strong>, <strong>Christina Hendricks</strong>, <strong>Albert Brooks</strong>, <strong>Oscar Isaac</strong> et <strong>Ron Perlman</strong> ont leur poster à eux, accompagné du titre en rose fluo. Un côté ?girly? pour éveiller la curiosité des filles ? Sûrement. Mais pas seulement : en fait, cette couleur est utilisée durant le générique du début du film. Pas de triche de la part des créateurs d?affiches, donc. S?ils visent sans doute plutôt le public féminin avec ces affiches, ils ne dupent pas non plus le public en respectant en fait l?un des aspects du long-métrage. Car oui, Drive, c?est AUSSI un film romantique. On remarque que même les acteurs à ?gueules?, <strong>Ron Perlman</strong> en tête, sont embellis sur ces images. Les deux actrices y sont à la fois naturelles et jolies. Quant à Ryan, on pourrait carrément le confondre avec <strong>Daniel Craig</strong> ! ?
Petit tour d’horizon des affiches de Drive, qui passent d’une ambiance très masculine à une série de posters plus girly.Nicolas Winding Refn est célèbre pour ses films musclés. De Pusher à Valhalla Rising en passant par Bronson, le cinéaste s’intéresse à des sujets violents et ne cache pas les scènes sanglantes à son public. Au contraire, sa mise en scène choc est sa marque de fabrique ! Drive dénote dans sa filmographie par son côté romantique, puisque son héros, un chauffeur bossant la nuit pour la mafia (incarné par Ryan Gosling) y tombe amoureux de sa jolie voisine (Carey Mulligan).Est-ce pour cette raison que ses affiches sont aussi différentes ? On remarque que la première plongeait les spectateurs dans le cambouis, en ne montrant qu’un moteur de voiture, le titre et la mention des noms de l’acteur, du réalisateur et "du producteur de Wanted". A ce stade, on ne peut que s’attendre à un film d’action, non ?Deuxième affiche, on change (un peu) d’ambiance, avec le héros de dos (impossible de reconnaître Gosling ici, même si une partie de son visage se reflète dans une vitre, floue), des néons, une veste "animale" dotée d'un scorpion et la nuit, omniprésente sur les premiers posters.Nouvelle étape, le personnage est en gros plan, de face, au volant. C’est cette affiche qui est choisie par le Québec pour promouvoir le film, rebaptisé pour l’occasion Sang-froid. Logique, tant l’image évoque cette idée, Ryan semblant extrêmement concentré. Même sensation face à l’affiche officielle française, où l’acteur tourne la tête vers la droite, la main sur le volant. On remarque que la typographie et la couleur du titre est parfois rose, premier signe de décalage avec l’ambiance globale évoquant le danger, la nuit et la vitesse.Arrive enfin la rupture, avec les affiches personnalisées. Plus de couleurs bleutées et sombres, place à la lumière ! Carey Mulligan, Bryan Cranston, Christina Hendricks, Albert Brooks, Oscar Isaac et Ron Perlman ont leur poster à eux, accompagné du titre en rose fluo. Un côté ‘girly’ pour éveiller la curiosité des filles ? Sûrement. Mais pas seulement : en fait, cette couleur est utilisée durant le générique du début du film. Pas de triche de la part des créateurs d’affiches, donc. S’ils visent sans doute plutôt le public féminin avec ces affiches, ils ne dupent pas non plus le public en respectant en fait l’un des aspects du long-métrage. Car oui, Drive, c’est AUSSI un film romantique.On remarque que même les acteurs à ‘gueules’, Ron Perlman en tête, sont embellis sur ces images. Les deux actrices y sont à la fois naturelles et jolies. Quant à Ryan, on pourrait carrément le confondre avec Daniel Craig !Enfin, Film District a délivré des bannières, et là encore, l’imagerie change. Normalement, les bannières sont utilisées pour mettre en avant des acteurs reconnaissables. Elles fleurissent ainsi pour les blockbusters, puisqu’elles offrent une diversité de visuels à poser un peu partout (métro, bus etc.). Pourtant, ici, elles sont plus esthétiques qu’informatives. En les regardant, on n’apprend rien sur le film, mais elles sont pourtant réussies d’un point de vue graphique, multipliant les effets de lumière et les coupes improbables. Est-ce une manière de faire oublier la promotion parfois malheureuse du film ? On se souvient qu’une longue bande-annonce dévoilée au moment du festival de Cannes avait révélé une bonne partie des instants clés du film, énervant passablement quelques cinéphiles qui ne voulaient pas être autant spoilés.Les différentes séries d’affiches de Drive se suivent sans se ressembler, donc, mais offrent tout de même la particularité d’évoquer différents aspects du film. Même si en les observant à la suite, on peut penser qu’elles font la promotion de deux projets différents, tant elles évoluent au fur et à mesure de la promotion. Y en a-t-il une en particulier qui vous semble plus réussie que les autres ?Drive sortira mercredi au cinéma.Elodie Bardinet
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