"Tous les jeux qui sont sortis aujourd'hui, du premier Resident Evil à Village, sont la trame de fond de notre série".
Après les jeux vidéo, les films et les séries animées, voilà une nouvelle itération de Resident Evil, déclinée cette fois en série live action pour Netflix (en ligne depuis ce jeudi 14 juillet). Une nouvelle histoire, qui part d'Albert Wesker (celui qui était le patron des S.T.A.R.S. à l'époque sur Playstation), pour nous présenter... ses deux filles.
L'intrigue se déroule sur deux chronologies différentes. En 2022, Albert et ses filles viennent de déménager à New Raccoon City alors qu'il développe un médicament pharmaceutique appelé Joy. En 2036, soit 14 ans après, ce médicament contenant le virus T. a ravagé la planète et transformé la plupart de ses habitants en zombies.
Si elle prend ses distances avec les jeux, la série reste malgré tout très connectée à sa base vidéoludique et fait surtout le lien avec Resident Evil Village, sortie en 2021 : "Tous les jeux qui sont sortis aujourd'hui, du premier Resident Evil à Village, sont la trame de fond de notre série", explique Andrew Dabb à TVLine. "Alors Raccoon City a été bombardé. En Europe de l'Est, il y avait une dame vampire géante [alias Lady Dimitrescu]... Tout ça, on le retrouve dans notre monde."
Mais c'est à peu près tout. Malgré ces clins d'oeil aux jeux, la série prend clairement une direction différente, parce que "nous avons l'ambition de produire une nouvelle saison tous les 18 mois environ, tandis que les jeux mettent un peu plus de temps à se produire. Nous avons fait le choix de seulement toucher du doigt la tradition du jeu dans la saison 1. Par contre, si nous avons la chance de pouvoir faire une saison 2 de Resident Evil et au-delà, vous commencerez à voir beaucoup plus d'éléments de jeu entrer dans la série."
Commentaires