Présente hier, samedi 21 décembre 2013, dans l'émission média de Canal +, la complice de Laurent Ruquier est revenue sur ses relations avec l'animateur d'On n'est pas couché et sur les critiques faites à son look par Nicolas Bedos.(Début de l'entretien à 10 minutes)
Journaliste discrète officiant sur Europe 1 et France 2, Natacha Polony est sortie de sa réserve pour répondre à quelques questions de Daphné Burki dans l'émission Le Tube diffusée samedi. Interrogée sur son risque de "Zemmourisation" en référence à Eric Zemmour qu'elle a remplacé dans le talk-show de France 2, Natacha Polony confie : "Il me semble que non, j'essaie justement de ne pas me Zemmouriser. Ce Zemmouriser, ça voudrait dire quoi ? J'essaye de ne jamais raccourcir les raisonnements, de développer, c'est peut-être pénible parce que dans On n'est pas couché je pose des questions qui durent 20 plombes, mais c’est parce que j'estime que les mots ont un sens et je veux maîtriser absolument ce que je dis. Quand je choisis un mot, il n'y a pas de sous-entendus, j'ai choisi ce mot-là et je l'assume."Revenant sur ses complices d'On n'est pas couché (Laurent Ruquier et Aymeric Caron ndlr), elle confie : "Laurent Ruquier est délicat. C'est quelqu'un qui est d'une délicatesse absolument formidable et c'est très rare dans ce métier. Aymeric est rude. Dans le sens où c'est quelqu'un qui, quand il tient le mollet, ne le lâche pas. Ça doit être le côté végétarien, il compense, il doit manquer de viande. (rires) C'est quelqu'un de très droit qui croit en ce qu'il dit."Taclée sur son look par Nicolas Bedos, elle réplique avec humour : "Je fais tout le temps du shopping, je suis une pétasse et je l'assume complètement. Les rouges à lèvres, j'en ai une collection suffisante pour pouvoir... Mais si j'avais su je l'aurais bien assorti au sweat.""J'ai cette image de femme sérieuse car je défends des idées et j'ai un côté exigeant et très rigoureux. L'avantage d'On n'est pas couché, c'est qu'on découvre au fur et à mesure que je ne suis pas que chiante! Je peux aussi avoir des goûts épouvantables en termes de dessins de presse, je peux chanter fort mal et massacrer les chansons des invités... " confie également la chroniqueuse de Laurent Ruquier.
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