Interviewée par le magazine Technikart, Enora Malagré est revenue sur son passé en banlieue parisienne. Pas très fière de ces bêtises de jeunesse, la chroniqueuse et animatrice se souviens de ses pires frasques.
Enora Malagré ne finit pas de faire parler d'elle. Avec son côté grande gueule, la chroniqueuse de "Touche pas à mon poste" s'est imposée comme la "caillera" de l'émission. Entre ses ras le bol et ses clashs en direct, la jolie blonde a attiré bon nombre de détracteurs. Pourtant, elle continue de cartonner à la télévision comme à la radio où elle anime désormais sa propre émission "Enora le soir" sur Virgin Radio. Rien d'étonnant à ce qu'un magazine comme Technikart lui réserve un portrait dans son prochain numéro.Interrogée par le magazine, Enora Malagré est revenue sur son passé en banlieue parisienne où elle a enchaîné les frasques ""Je foutais vraiment trop le bordel, alors ils m'avaient demandé de partir de la fac, j'étais à Saint-Quentin-en-Yvelines, je redoublais ma première année de droit. J'étais trop délinquante, trop rebelle, pas très maligne. Je suis passée à côté de mes études" a avoué l'animatrice.De nature franche et directe, Enora confie avoir toujours eu une force de caractère "J'ai toujours été comme ça. Ça vient de ma famille grande gueule, et de ma petite taille aussi. Quand t'es petite, faut que tu l'ouvres un peu." Un caractère qui parfois lui a joué des tours, notamment avec son groupe d'amis. La jeune femme révèle en effet avoir commis les pires bêtises avec son gang, les AK78 : "Genre brûler des voitures, taguer partout, frapper des gens. Genre mauvais souvenir. Pathétique. C'est vraiment pas une fierté."Pas très fière de ce qu'elle a pu faire par le passé, Enora cherche aujourd'hui à se rattraper et il semble que se soit réussit. De sa place de stagiaire à son statut de chroniqueuse et coanimatrice, sur Arte et NRJ en passant par Nova, Enora est aujourd'hui au top de sa carrière. Adoré pas les uns, détesté par les autres, la jolie blonde fait pourtant monter les audiences partout où elle va. De la télévision à la radio, rien n'arrête celle qu'on prénomme "la tornade du PAF".
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