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Il est indispensable de se munir de son âme d’enfant pour apprécier ces aventures à la saveur assumée de guimauve. La qualité des effets spéciaux, la conviction des acteurs humains (Hank Azaria, excellent Gargamel) comme celle des Schtroumpfs, sont vraiment réussis.
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Il est indispensable de se munir de son âme d’enfant pour apprécier ces aventures à la saveur assumée de guimauve. La qualité des effets spéciaux, la conviction des acteurs humains (Hank Azaria, excellent Gargamel) comme celle des Schtroumpfs, sont vraiment réussis.
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accumulation de gags gentiment scatologiques, l'un des piliers de l'humour enfantin américain : Gargamel tente de confectionner une potion dans des toilettes mobiles dont il prend la cuvette pour un chaudron, l'un des Schtroumpfs manque de se noyer dans les toilettes de ses hôtes. On finit par avoir hâte qu'ils regagnent leur pays natal et se remettent à dire "schtroumpf" à tout bout de champ.
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accumulation de gags gentiment scatologiques, l'un des piliers de l'humour enfantin américain : Gargamel tente de confectionner une potion dans des toilettes mobiles dont il prend la cuvette pour un chaudron, l'un des Schtroumpfs manque de se noyer dans les toilettes de ses hôtes. On finit par avoir hâte qu'ils regagnent leur pays natal et se remettent à dire "schtroumpf" à tout bout de champ.
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Le mariage de l'animation pure avec de vrais comédiens dans des décors réels fonctionne plutôt bien (...) Mais pour être sans temps morts, l'ensemble n'en est pas moins un peu longuet. Ces Schtroumps sont d'abord à hauteur d'enfants.
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Le mariage de l'animation pure avec de vrais comédiens dans des décors réels fonctionne plutôt bien (...) Mais pour être sans temps morts, l'ensemble n'en est pas moins un peu longuet. Ces Schtroumps sont d'abord à hauteur d'enfants.
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Au vu de la bande-annonce et du CV du réalisateur ("Scooby-Doo" et "le Chihuahua de Beverly Hills", c’est lui !), le pire était à craindre. Certes, le scénario, basé sur l’arrivée de ces miniatures bleu turquoise (en images de synthèse) à New York et de leur ennemi de toujours, le cruel et stupide Gargamel (en prises de vues réelles), manque de surprise et de nerf. Mais l’inattendue alliance entre gags burlesques et humour ironique, parodiant avec malice l’univers mielleux des Schtroumpfs, sauve l’ensemble de l’aller simple au pays des nanars.
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Au vu de la bande-annonce et du CV du réalisateur ("Scooby-Doo" et "le Chihuahua de Beverly Hills", c’est lui !), le pire était à craindre. Certes, le scénario, basé sur l’arrivée de ces miniatures bleu turquoise (en images de synthèse) à New York et de leur ennemi de toujours, le cruel et stupide Gargamel (en prises de vues réelles), manque de surprise et de nerf. Mais l’inattendue alliance entre gags burlesques et humour ironique, parodiant avec malice l’univers mielleux des Schtroumpfs, sauve l’ensemble de l’aller simple au pays des nanars.
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Au rayon des films à ne pas montrer à ses enfants, Les Schtroumpfs prend la tête du classement 2011. Moche, saoulant et affreusement publicitaire, le petit monde de Peyo hérite du pire cinéma familial hollywoodien.
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Au rayon des films à ne pas montrer à ses enfants, Les Schtroumpfs prend la tête du classement 2011. Moche, saoulant et affreusement publicitaire, le petit monde de Peyo hérite du pire cinéma familial hollywoodien.
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Peu fidèle à l’esprit de la bande-dessinée dont il s’inspire, ce divertissement enfantin peinera à séduire les adultes, mais s’en tire grâce à la performance burlesque de Hank Azaria.
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Peu fidèle à l’esprit de la bande-dessinée dont il s’inspire, ce divertissement enfantin peinera à séduire les adultes, mais s’en tire grâce à la performance burlesque de Hank Azaria.
Les Schtroumpfs